Mon histoire d’amour livresque avec Bernard Werber a commencé en 1991 avec les fourmis, je rentrais dans l’adolescence et avec ses fourmis, il me fit découvrir le monde de l’infiniment petit. Et presque chaque année depuis ce moment, il m’a entrainé dans des mondes que je ne soupçonnais même pas.


À croire qu’il le faisait exprès, il aiguisa ma curiosité avec son encyclopédie du savoir relatif et absolue écrit par ce personnage que tous les lecteurs Werberiens connaissent Edmond Wells.


Cette année, il m’a entrainé dans le monde du rêve, n’étant pas un gros dormeur, bien que bon dormeur, je me suis plongé avec délectation dans cette nouvelle lecture. Le style est incontestablement Werberien, chaque chapitre fini en climax, mais plus une trace de l’encyclopédie qui était présente dans quasiment la totalité de son œuvre.


Fan de la première heure, je n’ai pu qu’aimer le sixième sommeil, mais je dois bien reconnaître que ce n’est pas forcément mon préféré.


Sur le Blog

Bouquinovore
6
Écrit par

Créée

le 28 janv. 2016

Critique lue 425 fois

1 j'aime

1 commentaire

Bouquinovore

Écrit par

Critique lue 425 fois

1
1

D'autres avis sur Le Sixième Sommeil

Le Sixième Sommeil
caiuspupus
7

Celui qui n'a pas voulu quand il pouvait, ne pourra pas quand il voudra.

Cela fait quelques temps que j'étais un peu fâché contre Bernard Werber : ses derniers romans étaient à mon sens trop nombrilistes, pas très bien écrits, pas intéressants, les intrigues étaient...

le 13 oct. 2015

6 j'aime

4

Le Sixième Sommeil
Ghislain_B
8

Comme des airs de déjà vus ...

Après des années à attendre d'être lu dans ma bibliothèque, je me suis enfin décidé, par défaut, à entamer ce roman sans savoir où je mettais les yeux. De plus, il n'y a pas de résumé en 4e de...

le 18 sept. 2022

5 j'aime

2

Le Sixième Sommeil
Trilaw
9

« Il faut devenir ami avec son problème au lieu de vouloir l’éliminer »

Jacques Klein est visité par une version futuriste de lui-même qui lui somme d’aller en Malaisie secourir sa mère.Bernard Werber a habituellement beaucoup de mal à étrenner, il utilise sans cesse les...

le 7 sept. 2023

4 j'aime

Du même critique

Le Crime du comte Neville
Bouquinovore
8

Critique de Le Crime du comte Neville par Bouquinovore

Depuis 1992, j’achète religieusement mon Amélie Nothomb pour le dévorer avec délice. Je me rappelle, ces premières années avec Hygiène de l’assassin, Le Sabotage amoureux, Les Combustibles, Les...

le 28 août 2015

7 j'aime

Une merveilleuse histoire du temps
Bouquinovore
9

Critique de Une merveilleuse histoire du temps par Bouquinovore

Avec ma femme, nous avons pris l'habitude, ou du moins, nous essayons d'aller voir un film au cinéma les samedis soir. Et cette semaine, nous avions décidé d'aller voir une merveilleuse histoire du...

le 1 févr. 2015

7 j'aime