Good to know! : -)

Prince Harry | le Suppléant | 544 pages | 10.01.23 | 3.67/5 (105 notes sur Babelio !!)| Fayard| Traduit de l'Anglais par Nathalie Bru & Santiago Artozqui.

Après avoir vu les reportages et apprit le succès fulgurant de Prince Harry, je me suis dit que j'allais peut-être un peu surfer sur la tendance.

Je suis très ignorant des histoires de familles royales, surtout étrangères… Je ne savais donc pas du tout dans quoi je mettais les pieds ; ).

Ma maman a été fort agacée que j‘achète ce livre. Elle m'a dit que Prince Harry n'était pas quelqu'un de bien, qu'il faisait du mal à sa famille et demandait de l'argent. Bref, elle l'a traité de sale type, à tel point qu'elle n'acceptait pas de voir ce bouquin près d'elle !! xd…

Son altesse et sa compagne Meghan ont fui le pays ensembles pour leur bien-être (on parle carrément de santé). Il retrouve les siens à l'occasion d'un enterrement. Harry leur soutien qu'ils ne savent pas pourquoi il était parti, alors il le leur explique. le Prince raconte aussi ses débuts à l'armée… Et surtout, ô combien il avait un amour obsessionnel et réciproque pour sa mère.

Le chagrin de la mort de sa maman est tellement fort qu'Harry s'invente des histoires : elle se cache. On revient sur l'enfance dans la famille. L'afficionados de XBOX que je suis apprécie le clin d'œil.

De nombreuses références à Elton John.

On voit que comme le titre l'indique, Harry vit vraiment mal le fait de n'être pas l'héritier direct…

« Bien joué mon chéri » , « le rituel du sang » pauvre lapin…

Il semble faire plein de reproches à ses proches…

Ça a été dur de lire ça « contre l'avis de ma mère » mais bon en fin de compte elle n'aime pas Uriane non-plus…

Je n'ai pas trop accroché à ce positionnement en tant que victime, cela dit après tout j'ai eu ma période moi aussi… Et dans sa position, il avait besoin de l'argent de ce livre.

Le titre de la partie 2 « Debout bien que blessé » témoigne encore de sa mise en avant personnelle. Comme quand je lisais des manuscrits en ME, on m'avait fait comprendre que les livres ultra autobiographiques étaient souvent très moyens…

On peut lui accorder la bravoure d'avoir lutté contre les talibans (Où il s'est distingué !!)

Il parle crument de « sa bite » mais bon on sait qu'il en a une particulière…

« C'était ça l'important. C'est ça un homme. Ça, ce n'est pas un suppléant. »