Fiche technique

Auteur :

Laurent Genefort
Genre : RomanDate de publication (pays d'origine) : Parution France : juin 2008

Éditeur :

Le Bélial'
ISBN : 9782843440854, 9782070363797, 9782843440854

Résumé : Il travaille pour le compte des grandes Compagnies qui se partagent l'univers.Il erre de planète en planète au gré de ses contrats. Il est le tueur à gages le plus redouté des mondes humains. Le plus cher, aussi. Nul ne sait qui il est véritablement. Pas même lui. Tel est le prix de son immortalité. Immortalité qu'il doit à un artefact extraterrestre unique et qui ne le quitte jamais. Tout comme les " crises de souvenirs " qui le terrassent de plus en plus souvent. Au point d'en menacer ses missions.Des souvenirs dont il ne sait même pas s'ils sont les siens. Des crises qui masquent une terreur secrète, tapie au fond de lui sous la forme d'un cauchemar qui, inexorablement, se rapproche et menace de l'engloutir. Le compte à rebours est engagéNé en 1968, Laurent Genefort a vingt ans lorsque sort son premier roman, Le Bagne des ténèbres, dans la mythique collection " Anticipation " du Fleuve Noir. Aujourd'hui, avec près de quarante romans publiés, un Grand Prix de l'Imaginaire et un prix Rosny Aîné en poche (Arago-1995 ; Omale - 2002), il est considéré comme l'une des figures de proue de la nouvelle science- fiction française et, sans doute, le tout meilleur créateur d'univers du domaine. Après plusieurs ouvrages de fantasy publiés ces dernières années, Mémoria marque le grand retour de Laurent Genefort à la science-fiction, son domaine de prédilection, un roman en annexe duquel on trouvera un passionnant lexique de l'univers de la Panstructure, construction littéraire de 25 000 planètes qui donne cadre à l'ensemble de ses space operas.Extrait du livre :«J'ai le droit de savoir pourquoi tu vas me buter, non ?» demanda Norodom.Il ne se débattait plus. Il avait compris qu'il ne parviendrait jamais à briser la chaise sur laquelle il était ligoté, car l'inhibi­teur neural que je lui avais posé sur la nuque l'empêchait de remuer le petit doigt. S'il était attaché, c'était avant tout pour ne pas qu'il s'effondre. Il ne pouvait ni bouger, ni hurler. De toute façon, nous nous