Assez trompeur en définitive, le texte est assez court.
Toujours la verve à la Céline, par contre tout ce qu'il trouve à dire sur le français moderne, hérité donc d'Amyot le traducteur français de Pétrarque, c'est qu'il a été "émasculé" (bon c'est vrai que quand on porte un nom de poche utérine, ça donne un peu envie de se lâcher sur les connotations graveleuses, mais y a quand même d'autres viscères que la teub', il devait bien le savoir le Kiri). Encore cette même obsession donc.
Pas qu'on comprenne pas mais y a un gros effet Qohèleth assez déplaisant au final.
Donc pas très surpris en substance, même si j'y ai appris deux trois trucs, genre que Céline comme Rabelais seraient des médecins de Meudon (il me semblait que Rabelais avait écrit plutôt vers Chinon mais ça l'empêche pas d'avoir été formé à Meudon).