Un des morceaux les plus mélancoliques et les plus touchants que je connaisse.


L'annonce de Michael Allen à la mère, tout en atermoiements, finit par prendre un envol magnifiquement plaintif (rappelant les accents parfois tragiques de Dirk Polak, le chanteur du groupe néerlandais Mecano) au son d'une trompette crépusculaire qui renforce la solennité hispanisante d'une chanson à fleur de peau.

Arnaud-Fioutieur
10

Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur.

Créée

le 18 janv. 2020

Critique lue 44 fois

2 j'aime

2 commentaires

Critique lue 44 fois

2
2

Du même critique

6 Underground
Arnaud-Fioutieur
2

Underground ... et bien profond

Après être parvenu à tenir pendant les vingt premières minutes d'une course poursuite à Florence --- allégorie involontaire de la laideur* investissant (et saccageant) la beauté ---, je me suis dit...

le 17 déc. 2019

31 j'aime

1

Candyman
Arnaud-Fioutieur
4

L'abeille et la bête

La pauvre Nia DaCosta a encore et toujours les abeilles... Que sa colère soit sincère ou pas, elle en oublie (presque) le cinéma, ici, à force de chevaucher la Propagande, de faire de la retape pour...

le 18 sept. 2021

28 j'aime

28

La Haine
Arnaud-Fioutieur
5

La journée de la ZUP

24 heures du quotidien de trois jeunes de banlieue, sous forme implicite de compte à rebours... Entre les personnes qui honnissent Kassovitz (et sont incapables de jauger La Haine autrement qu'à...

le 24 mars 2020

27 j'aime

24