Je suis assez fou de la voix de Calogero, j'aime autant les textes qu'il peut travailler généralement. Ici, si la mélodie symphonique est là et si rien n'est retiré de la voix du chanteur je dois avouer que pour ce qui est des paroles...
Le sens du texte m'échappe complètement à partir du 6e couplet et tant que cela me fait presque penser à de l'Indochine. Calogero semble partir dans une énumération des rimes en "elle" et trouve le summum de la poésie, l'apothéose de sa chanson quand il compare la beauté de son Angèle à celle... d'une crêpe au miel. UNE CRÊPE AU MIEL ?! je suis toujours aussi hilare en entendant ce dernier vers.