Trois premiers épisodes très captivants (celui sur le cas Dominique en particulier) mais un rythme et un format bourré de flash-backs qui finissent par lasser sur les derniers épisodes.
Mention spéciale à Marie-Andrée qu’on nous achète comme une québécoise mais avec une actrice qui, à mi chemin entre son accent britannique de base et une impro expérimentale, nous dévoile un accent ovni qui rappelle plutôt une italienne avec un niveau A2 en français. Le personnage semble être globalement très différent de l’original mais ce côté glamour m’a pas dérangé.
Un côté vintage, grosses lunettes de soleil, et bien sur une atmosphère étouffante, fronts en sueur et cocktails empoisonnés au bord de la piscine particulièrement délectable.