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She-Hulk : Avocate
4.3
She-Hulk : Avocate

Série Disney+ (2022)

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The Girl From Gamma Gamma Gamma

She-Hulk et moi, ça commence à dater un peu... Je l'ai découverte étant jeune dans les vieux comics de mon père (dans quelques numéros publié par Arédit, un vieux numéro du magazine Strange et quelques numéros du magazine Nova), mais ce n'était pas dingue, simplement une héroïne perdue dans la masse des autres publications...

Je l'ai retrouvée, changée, au début des années 2000 à travers le (premier) run de Dan Slott, et sans être une révélation, c'était au une vraie bonne surprise. À l'époque, j'étais très amateur de comics un peu 'slice of life', qui font la part belle aux histoires et aux personnages plutôt qu'à des énièmes scénario de super-héros... Du coup, j'étais à fond dans des trucs comme Alias (série qui lancé Jessica Jones, et que je ne saurais que trop vous conseiller), Top 10 ou encore Gotham Central (deux séries policières atypiques, que je conseille fortement aussi).

Alors que ces trois séries sont assez 'sombres' et abordent parfois des thèmes 'difficiles' (tout en abordant également de réels problèmes de société, bien ancrés dans le quotidien de monsier et madame TouLeMonde), à la longue, je me disais que ce serait pas mal de tomber sur une série un peu plus 'légère', et c'est là que She-Hulk est intervenue. C'était un très bon run, et j'avais vraiment hâte de découvrir la suite.

Le problème, c'est qu'en France, la publication n'a jamais suivie, et pendant trèèès longtemps, l'album "Miss Hulk Vol 1 : À Armes Inégales" sorti en Marvel Monster Edition restera, hélas, le seul album disponible en librairie. Et accessoirement, aux USA, bah les scénaristes se sont enchainés, et on ne va pas se mentir, il y a eu du bon comme du mauvais, et parfois le bon valait le coup, et parfois le mauvais avait de quoi vraiment nous inquiéter sur l'éventuel avenir du personnage...

Comme je viens de le laisser sous-entendre, vu combien j'avais apprécié le run de Slott, je me suis tourné vers les publications en V.O. avec plus ou moins de bonnes surprises. La meilleure viendra en 2011 avec la sortie de l'omnibus "Sensational She-Hulk by John Byrne".

Monsieur John Byrne, scénariste et dessinateur (entre autres) reconnu dans la profession pour l'ensemble de son œuvre, dont on retiendra évidemment (entre autres) le travail sur la relance de Superman, sa longue et fructueuse collaboration à la saga des X-Men (et quelques dérivés), ainsi que son importante participation à la saga des Fantastic Four. Il reste cependant aussi un auteur de choix auprès de certains aficionados, notament pour sa participation aux premiers numéros de Hellboy, et sa relance de la saga She-Hulk (entre autres) et c'est ce qui nous intéresse ici. Entre 1989 et 1994, le run de 60 numéros de She-Hulk, resté confidentiel (voire inédit) jusqu'à l'été 2022 en France, est pourtant une véritable révolution dans le monde des comics 'mainstream', et mériterait vraiment d'être cité en exemple tant il a apporté aux comics 'satyriques' ayant été publiés après (Deadpool en tête..).

Imbalance of Power

Je n'ai pas voulu regarder la série (la saison ?) avant qu'elle soit terminée. Hélas, à l'ère de l'hégémonie d'internet et des réseaux sociaux, difficile d'échapper aux critiques hebdomadaires et aux divers 'buzz' entourant la série. Mon premier souci, c'était qu'en lisant ce qu'on lui reprochait, je me disais "Bah, ils sont bêtes, ce genre de trucs, c'est dans les comics d'origine !", et ce quasiment à chaque fois. La déconstruction des codes des comics (et ici du MCU), l'autodérision parfois hyper kitch, les aspects mièvres, le féminisme tantôt fin et intelligent, tantôt tellement lourd que ça ne peut être que l’œuvre d'un homme bas de plafond, l'humour parfois subtil, parfois limite 'gras', les ennemis limites nanardesques et/ou utilisés de manières décalées, le fait de briser le quatrième mur, etc... Ben ouais, c'était exactement comme ça durant la période où Byrne œuvrait sur les comics de notre héroïne... Et la petite cerise, c'est que pas mal des critiques qu'on pouvait lire ici et là sont parfois carrément reprises par les 'méchants' de la série au détour de certains épisodes.

Qu'on se le dise, She-Hulk a été crée par Stan Lee en 1980 précisément pour que les ayant-droits d'exploitation de la franchise Hulk à l'écran ne créent 'bêtement' un pendant féminin du Géant de Jade à des fins purement marketing (comme ça avait été fait avec The Bionic Woman, spin-off bas de gamme de The Six Million Dollar Man). C'est précisément pour éviter qu'on crée un personnage féminin dérivé d'un personnage masculin populaire sans autre but précis que celui de faire plus d'argent. En somme, il l'a créé exactement pour éviter les raisons dont les 'haters' s'emparent pour critiquer Marvel ces dernières années (avec, par exemple, les apparitions des pendants féminins de Thor et DareDevil dans les comics, ou encore le changement d'un assez grand nombre de personnages, dont récemment Black Panther, au cinéma). Et rappelons au passage que, voir apparaitre un personnage reprenant les pouvoir et/ou le look d'un autre personnage du sexe opposé est loin d'être nouveau, sauf qu'à l'époque, on n'en faisait pas toute une histoire.

Qu'on se le dise, ce que Joe Kelly a fait en 1997 avec Deadpool (l'aspect fortement comique, l'autodérision, l'aspect 'méta', l'irrévérence du personnage, l'aspect parodique, les changements de tons parfois brutaux, et évidemment le fait de briser le quatrième mur) c'est précisément ce qu'avait déjà fait John Byrne presque une décennie plus tôt avec She-Hulk (sans le côté 'trash' inhérent à Deadpool, évidemment)...

Qu'on se le dise, le féminisme n'a pas qu'un seul visage ou un seul courant. Certes, She-Hulk essaye parfois de s'imposer sous la plume de Slott comme une femme forte, indépendante, qui ne craint pas de s'affirmer et qui fait parfois passer sa carrière avant le reste (et ce côté 'sérieux' est bien présent dans la série, avec des mecs parfois aussi imbuvables que stupides, des réflexions drôles et intelligentes de l'héroïne, etc). Mais à côté de ça, ça ne l'empêche pas de faire la java, de boire avec ses copines, de vouloir être sexy, de mater le cul des mecs, d'avoir des 'coups d'un soir' (comme se taper Tony Stark et de lui demander le lendemain "Au fait, pourquoi tu passes pour un tombeur alors que moi je passe pour une p*te ?" avant d'enchainer avec un petit débat sur les inégalités de perceptions des hommes et des femmes), etc... Car c'est aussi l'héritière d'un autre pendant du féminisme, j'oserais dire 'plus léger', tel que le prônaient Kate Bush, Madonna, ou Cyndi Lauper, avec des femmes libérées, qui s'assument différemment, et n'ont pas peur de s'amuser (car oui, apparemment, de temps en temps, "Girls Just Want to Have Fun"), comme on pouvait également déjà la voir parfois sous la houlette de Byrne.

Byrne qui d'ailleurs n'hésitait pas à passer pour un macho, sadique, voire misogyne, qui avait quelques fois l'air de prendre un malin plaisir à malmener son héroïne et à la mettre dans des situations plus que douteuses (qu'elle contrebalançait, parfois avec intelligence et brio, parfois avec humour et second degré, mais aussi parfois en ne pouvant pas y faire grand chose). Du coup, quand je vois que ça s'excite comme pas possible autour d'une scène post générique avec un peu de 'twerk', je ne peux m’empêcher de penser au (pourtant célèbre, non ?) "Sensational She-Hulk #40" où John Byrne n'hésitait pas à 'obliger' Shulkie à faire de la corde à sauter intégralement nue uniquement pour 'vendre plus'... Ce qui, évidemment la navre au plus haut point (non, ce n'est pas une blague : https://drawmeincomics.files.wordpress.com/2019/04/she-hulk-white-marvel-hd-1080p-wallpaper.jpg ). Alors oui, à l'époque, d'un, ça dénonçait les abus de certains hommes de pouvoir (bien avant l'heure), et de deux, ça permettait de flirter avec les limites de la 'sacrosainte' Comics Code Authority (et accessoirement, vraiment, de vendre plus). Ce qui n'était donc pas un acte gratuit du tout.

Qu'on se le dise, je pourrais continuer comme ça pendant des heures et démonter points par points la grande majorité des critiques émisent à l'encontre de cette série en vous détaillant toutes les subtilités historiques apportées par les comics, mais bon, je ne vais pas le faire, et je vais me contenter de vous inviter à quand même bien vous renseigner avant de critiquer ouvertement et bêtement une œuvre dont, apparemment, vous ne savez rien (ou visiblement pas grand chose).

Some Disassembly Required

Bon, maintenant que j'ai poussé mon petit coup de gueule, passons aux points négatifs. Parce qu'on ne va pas se voiler la face, malgré ma note relativement haute (histoire de compenser un peu ceux qui ont saqué la série sans la finir ou en avançant de faux arguments de m*rde), on peut quand même difficilement dire qu'on est véritablement face à une 'Bonne Série'.

Du coup, quel est le problème ? Non parce qu'à me lire, on sent quand même que je suis assez fan (sinon plus) des comics, et que dans le fond j'ai quand même bien aimé la série (ce qui est vrai), mais en toute objectivité, bah c'est clair que si ça avait vraiment été génial, j'aurais juste collé une super note, et je n'aurais pas pris le temps de la défendre face aux incultes et/ou aux rageux...

À mon humble avis, le plus gros problème de la série, c'est d'avoir voulu ici faire une sorte de best-of des côtés les plus fun du personnage, dans une intrigue inspirée par les histoires les plus funs du personnage... Alors je sais pas, mais mettons que j'adore la pizza, la soupe miso, la pâte à tartiner aux noisettes, les chips de maïs au cheddar, et les bonbons acidulés. Raconté comme ça, pourquoi pas. Mais si un jour on me propose une pizza, avec la croute remplie de miso, recouverte de pâte à tartiner aux noisettes, et parsemée de bonbons acidulés et de chips de maïs au cheddar, bah franchement, j'aurais même pas envie d'y gouter...

Pêle-mêle, on retrouve au fil des épisodes de la série pas mal de trucs directement tirés des comics (liste non exhaustive par ordre d'apparition dans les comics) :

  • She-Hulk a une vie amoureuse mouvementée (TOUS !)
  • She-Hulk a des problèmes de voiture (running-gag initié par David Kraft)
  • She-Hulk défend et réhabilite un 'Super Vilain' au tribunal (Morbius, et non l'Abomination dans les comics de David Kraft)
  • Jennifer Walters et Matt Murdock se croisent au tribunal (Tom Defalco mais on y reviendra, car là ils ne se parlent même pas)
  • She-Hulk se bat contre Titania au tribunal (devant, dans le comics de Tom Defalco)
  • She-Hulk brise le quatrième mur (John Byrne)
  • She-Hulk travaille pour un procureur de New York (John Byrne)
  • She-Hulk affronte des ennemis plus nazes les uns que les autres, dignes de nanars, sortis des fonds de tiroirs de Marvel (John Byrne)
  • Les ennemis de She-Hulk ont parfois le béguin pour elle (John Byrne)
  • She-Hulk aime la fête, danser, boire, etc (un peu tous mais gros rappel avec Dan Slott)
  • She-Hulk perd son logement, un procès et son boulot avant d'être embauchée par le cabinet qui était son adversaire au dit procès, pour y devenir spécialiste en affaires de 'Super-humains', et où elle rencontre Augustus Pugliese et Mallory Book (là, ils reprennent carrément l'intro du premier run Dan Slott, cependant dans le comics elle est priée de quitter le manoir des Avengers, et à l'inverse de la série, c'est uniquement Jennifer Walters que son patron veut voir au travail)
  • On découvre Skaar, le fils de Hulk (Greg Pak)
  • She-Hulk est victime de l'Intelligencia (bien que celle imaginée par Jeff Parker n'ait rien à voir avec celle de la série, du moins pour l'instant)
  • She-Hulk et Matt Murdock sont, enfin, adversaires juridiques au tribunal (sauf que dans la version de Charles Soule, l'affaire concerne Steve Rogers et non Leap-Frog)

Donc voilà, on a beaucoup d'idées, clairement empruntées à au moins six auteurs différents (plus si on compte ses apparitions dans d'autres séries et/ou les personnages directement issus d'autres séries), et chacun ayant travaillé sa propre version du personnage, le tout étalé sur près de quarante ans, et ils voulaient simplement caser tout ça dans une série... Sauf que ça ne fonctionne pas des masses ! On pourrait même simplifier un peu en se disant qu'ils ont voulu mettre le personnage travaillé par John Byrne dans une version ultra simplifiée du run de Dan Slott. Sauf que ça manque toujours d'alchimie, que la mayonnaise ne prend pas vraiment, et que, malgré quelques caméos sympathiques, bah ça manque clairement de Super Héros...

Et l'intrigue, enfin, parlons-en de l'intrigue, si on peut encore appeler ça comme ça. Quand bien même John Byrne pouvait se permettre de faire des petites histoires qui ne prenaient qu'un numéro, il a quand même développé des petites intrigues. Chez Dan Slott c'est encore plus flagrant avec quelques épisodes, souvent axés sur une seule affaire juridique, qui prenaient tout de même plusieurs numéros (entre deux et quatre en général), mais qui gardaient le fil rouge d'une toile de fond qui se tissait petit à petit, ce qui a donné de vrais arcs narratifs. Si ils n'étaient pas capable de jongler efficacement entre les péripéties, de faire en sorte que des événements apparemment isolés se retrouvent finalement dans une seule, belle, trame narrative globale parcourant la saison complète, alors ce n'était peut-être pas la bonne carte à jouer... D'ailleurs, vu le traitement réservé à l'aspect judiciaire de la série (seulement deux ou trois affaires, aux intrigues baclées et aux résolutions expédiées, et dans lesquelles l'héroïne de la série ne joue absolument aucun rôle) ça à tendance à me conforter dans ce raisonnement...

Pour finir là dessus, j'aimerais également souligner que, mine de rien, seuls les runs de Byrne, Slott, et Soule (oh, et celui Rowell mais bon, il est encore en cours) peuvent être considérés comme 'légers' ou 'funs'. Je n'ai absolument rien contre ces runs, au contraire, je les aime beaucoup, et ce sont eux qui m'ont vraiment fait découvrir ce personnage et permis de l'apprécier à sa juste valeur. Mais d'un côté, c'est presque réducteur, car elle n'est pas que ça...

Si avant Byrne elle ne se démarquait pas tant que ça, on retiendra tout de même sa participation à pas mal d'aventure des Avengers et des Fantastic Four, et force est de constater que l'on ne peut absolument plus dire ça depuis les événements de Civil War (version comics, évidemment) où, petit à petit, au fil des arcs et des histoires, son personnage à pris pas mal d'ampleur, et en a pris parfois plein la gueule pour pas un rond.

Je pourrais vous parler des évenements qui ont suivi World War Hulk, de la A-Force, des Lady Liberators, de l'apparition des autres 'déclinaisons' (Lyra et Red She Hulk en tête), de sa participation à la saga des Hulks, des Fearsome Four, ou encore de tout ce qui lui arrive pendant et après Civil War 2... Si le second run de Dan Slott était bon, changeant parfois radicalement de ton, à ce niveau là, que dire d'autre sinon que la version de Mariko Tamaki était tout bonnement excellente, à la fois poignante et enragée, et ça faisait du bien de la voir comme ça. Sans parler du One Shot, Immortal She Hulk, de Al Ewing... Si ces deux là finissent par sortir en France grâce à la série, ça valait largement le coup alors !

Plus sérieusement, c'est aussi cet aspect là qui pourrait finir par manquer à cette série. Faire du comique et du 'slice of life', c'est très bien, et je suis très client, mais encore faut-il savoir le faire. Là, on ne peut pas dire que ce soit une franche réussite. Du coup, un peu plus de drame, un peu plus de profondeur et des personnages un peu plus construits et plus attachants, ça n'aurait vraiment pas fait de mal (et accessoirement, des effets spéciaux de meilleure qualité, ça aurait été vraiment bien).

Strong Enough

Pour conclure simplement, je me contenterai de dire que je ne veux pas cracher dans la soupe, ni tirer sur l'ambulance... Je regarde les trucs MCU du pour me divertir, pour me vider la tête, pour me détendre. Je mate ça comme ma tante lit du Marc Levy ou du Guillaume Musso. On le sait que ça ne vole pas haut, mais ce n'est pas le but. Dans cette optique, eh ben je n'ai pas trop été déçu par cette série.

Oui, il y a beaucoup trop de trucs, le mélange est un peu trop improbable, l'humour n'est pas génial, etc... Mais ça reste très sympa et ça ne fait de mal à personne, au contraire, ça met un personnage, excellent mais méconnu chez nous, sur le devant de la scène.

Bien sur, j'aurais aimé une meilleure toile de fond, un humour bien plus barré et mieux maitrisé, autant de personnages que dans les comics, et de meilleurs effets spéciaux, mais tout n'est pas perdu, il reste l'espoir qu'ils apprennent de leurs erreurs et qu'une excellente saison deux voie le jour !

DocteurKi
7
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le 25 nov. 2022

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DocteurKi

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