Je commence cette critique en précisant que je ne suis pas du tout amatrice, en temps normal, de comédie, et que je n'ai commencé cette série que grâce à ma femme. Et je suis incroyablement contente de l'avoir fait.
La série commence comme une sitcom assez classique dans la forme, avec un fond plutôt original, avant de s'ancrer dans quelque chose de bien plus fort.
En-dehors de nombreux moments hilarants, The Good Place offre également des relations profondes entre des personnages attachants, une réflexion intéressante sur le sens de la vie et ce que sont réellement le bien et le mal, ce qu'on n'attend pas forcément de la part d'une série de comédie.
J'ai dévoré la série en entier et à aucun moment elle ne s'est étirée, jusqu'à un final incroyablement émotionnel qui nous laisse avec un poids sur le coeur, et une sensation de manque.
Le créateur avait déjà fait Brooklyn 99, qui était déjà drôle et attachante, mais il ajoute ici un degré de profondeur et de sentiment qui en fait, pour moi, une des meilleures séries que j'ai pu regarder.