Un scientifique tombe en disgrâce après avoir émit une hypothèse selon laquelle il y'a de l'or sur la lune, et même beaucoup d'or. Pour prouver cette théorie il suffit d'aller sur la lune. Bah oui, rien de plus simple. En 1929 les connaissance sur la lune restent minces, et celles sur le voyage spatiale sont quasiment inexistante. Mais ne nous arrêtons pas à ses détails techniques.... Lire l'avis à propos de La Femme sur la Lune
Ca commence avec le lancement de Spoutnik 1 par les soviétiques. Ca aurait un bon moyen de rappeler que la guerre froide c'était pas une guerre unilatérale, et que les rouges ont remportés plusieurs batailles, notamment la réussite du Spoutnik qui restera comme leur victoire la plus éclatante (avec le catapultage de Gagarine). Il y'a un peu de ça pendant les toutes premières minutes du film,... Lire l'avis à propos de Ciel d'octobre
Typiquement un film qui ment sur la marchandise. Le titre et le synopsis laisse penser que la lune à un rôle essentiel, et qu'elle influe sur le comportement des gens. En réalité l'histoire (ou les histoires) racontée(s) tourne(nt) autour du passage à l'heure d'été et des conséquences et des conséquences néfastes que cela peut engendrer. Les ahuris (qui représentent une part non-négligeable... Lire l'avis à propos de Il y a des jours... et des lunes
A force de chanter le blues de la cambrouse du grand ouest américain on aura compris que les quatre membre du CCR ne sont pas les fils d'un riche propriétaire terrien, ou d'un môsieur d'la ville. Ils sont pas riches les gars de Fogerty, et les potes de Willy non plus apparemment. Mais ça Fogerty n'en a rien à foutre. Pour sûr, il échangerais pas un centimètre carré de la campagne... Lire la critique de Willy and the Poor Boys
S'emparer d'un sujet politique aussi sensible que le racisme, et cela au beau mileu des années 60 en Amérique, c'est l'exercice casse-gueule par excellence. Pas facile de ne pas tomber dans le discours niais et planplan, ou dans la caricature du bouseux du sud, drapeau confédéré tatoué sur la poitrine. Sweet home Alabama. Stanley Kramer ne s'en prend pas à ces abrutis dégénérés qui... Lire la critique de Devine qui vient dîner...
Tout le monde est d'accord pour dire que le café et la cigarette au déjeuner c'est pas hyper sain. Alors pourquoi tout le monde (ou presque) prend un café et une cigarette au déjeuner? Un simple rituel qui permet de nous installer confortablement dans une routine familière? Il y'a de ça mais pas seulement. Ce que met en lumière Jim Jarmusch c'est qu'il y'a autant de manière de... Lire l'avis à propos de Coffee and Cigarettes
Ouest américain, peu après la grande dépression. Terrible période qui a vu des centaines d'homme errer sur les routes à la quête de quelques miettes pour subsister. La grande majorité avait absolument tout perdu par la faute des spéculateur. Mais pas Lennie et George, parce que George avait Lennie, et Lennie avait George. Ils avaient aussi quelque chose que la plupart n'avait déjà plus : un... Lire la critique de Des souris et des hommes
Bertrand Tavernier aime bien raconter des histoires méconnues sur des sujets ultra-connus. Ca tombe bien, moi j'aime pas voir et revoir le même film ad vitam eternam jusqu'à ce que tout amour pour le cinéma s'estompe. Presque 10 ans après La Vie et Rien d'Autre, Tavernier réalise un nouveau film sur un aspect peu ou mal connu de la première guerre mondiale. La soi-disant der-des-der... Lire la critique de Capitaine Conan
Merci Arte de diffuser Le Voleur à peine deux mois après que j'ai terminé le roman dont il est adapté. Ca c'est du bon timing. D'un autre côté ça fait de moi la pauvre victime du très célèbre et inévitable phénomène de de déception du lecteur enthousiaste face à l'adaptation d'un livre marquant. Louis Malle a mis de côté plusieurs aspects de l'œuvre de Georges Darien qui m'avait bien plu.... Lire l'avis à propos de Le Voleur
Dans l'introduction inspirée de celle des Star Wars Jason Stutter explique pourquoi la qualité de son film est aussi lamentable. En fait Peter Jackson a réquisitionné toutes les caméras de Nouvelle-Zélande pour Le Seigneur des Anneaux, obligeant Stutter a utiliser des caméras toutes pourries. Le ton est donné, on est clairement dans le second degrés et un humour absurde façon Monty Python ou... Lire la critique de Tongan ninja, la fureur des îles