
Plus long que Danse avec les loups et Barry Lyndon réunis, ce film nous montre que James Franco peu jouer un homme qui prend de l'acide et porte un chapeau haut mais aussi jouer un homme qui prend de l'acide et porte des tresses africaines. En dehors de ça on passe les 2/3 de la séance à se faire teaser à grand coups de nichons, avec pour résultat une paresseuse demi-molle. Le dernier 1/3... Lire la critique de Spring Breakers