
L'aventure partait bien, puis le côté simpliste, naïf et parfois incohérent m'a sorti de l'histoire. Des nations qui font fi de 1 000 ans d'antagonismes en un éclair, même pour affronter un ennemi commun... Punaise c'était si simple que je me demande pourquoi il a fallu 14 tomes à Robert Jordan... Lire la critique de Le Prieuré de l'oranger