
Le cinéaste russe célèbre la beauté d’un peuple par son génie du cadrage et du montage. Sous forme d’une série de contes, il met en lumière la lutte de battants, ne se sentant stoppé ni contre l’aridité du désert, la charge du taureau ou les bottes éperonnées des occidentaux. Eisenstein avait sans doute vu dans ce peuple tout le potentiel primal de la lutte des classes, aussi se... Lire la critique de Que Viva Mexico !