Chronique complète

Extrait :

Publication assez rapide pour l’instant avec cette série, un tome tous les deux mois environs. Si bien que d’ici le début de l’année prochaine, on devrait avoir rattrapé la parution japonaise. Peut-être qu’après, la parution ralentira un peu, vu qu’au Japon, un tome sort tous les 4 mois environ. L’intrigue me semble avancer un peu vite, mais je pense que ce n’est que partie remise et non le signe que la série sera courte… même si je ne la vois pas durer trop non plus (je vois une quinzaine de tomes grand maximum personnellement). Mais on verra bien…

Maintenant que le club des Phantom Busters est officiellement créé et qu’ils ont également trouvé une salle à disposition, le groupe est bien content. Mais il ne faut pas lambiner pour autant, puisque Mogari a passé un pacte avec sa famille et qu’il doit chasser des fantômes pour rester au lycée. Ce qu’il y a, c’est qu’on apprend le nombre qu’il doit chasser et dévorer, en une année… Ce nombre semble assez important, surtout quand on voit la quantité qu’il a ingérée jusqu’à présent et qu’il ne semble pas faire de rapport à sa famille. Crétin fini qu’il est, il a même totalement oublié ce nombre jusqu’à qu’on lui rappelle. C’est supposé être un nombre impossible à atteindre pour lui, mais sa famille n’a sans doute pas pris en compte qu’il serait accompagné par quelqu’un voyant les morts et un autre qui entend leurs voix. En soit, cette alliance devrait grandement l’aider, même si l’objectif reste compliqué à atteindre, le bougre souhaitant aussi en profiter. J’aimerais dire que son côté idiot semble dû au fait que ses proches ne vont pas à l’école, mais je ne pense pas que ce soit son cas. Il a vraiment le caractère de quelqu’un n’appréciant pas les études ou prenant tout à la légère. Il montrera quand même une certaine débrouillardise et intelligence dans certains moments, mais l’école, ce n’est clairement pas son truc. Ce que je trouve dommage c’est qu’il semblerait qu’il en soit de même pour les autres, ce que je trouve triste. Qu’Eugene soit le plus intelligent, pourquoi pas, mais l’auteur n’était pas obligé de transformer tous les autres en idiots. J’ai l’impression que c’est pour contrebalancer le fait qu’il n’a aucune compétence spirituelle, mais je trouve que c’est mal dosé.

La scène avec celui qui se fait posséder par des racailles des années 80 est épique ! J’imagine déjà que la série va avoir une adaptation animée et cette scène sera magique avec du doublage. Mogari en prend pour son grade, mais il n’est pas le seul, après, ils n’avaient pas vraiment le choix pour l’exorciser. Heureusement, cette scène a eu lieu entre deux garçons, bonjour la polémique sinon, même si ça reste limite quand même. La scène est présenté autant avec humour que dégoût, pour montrer que ce n’est pas normal malgré tout. L’amitié est également un thème important de ce tome, que ce soit avec l’anniversaire de Mogari ou bien la situation d’Eugene qui semble lui échapper. Un premier personnage féminin important fait son apparition est visiblement elle aime Eugene et n’apprécie pas qu’il gâche son temps avec les autres… Les femmes passent vraiment pour des contrôleuses et forceuses dans cette série, j’espère que ça changera… À part la grand-mère, elles laissent une assez mauvaises images, sans parler de la fantôme psychopathe du tome précédent… Je veux bien que l’on est des personnages très caricaturaux, mais de là à rabaisser autant l’un des deux genres c’est non. Les garçons, mêmes s’ils passent pour des idiots, ils restent sympas, les filles… elles donnent plus envies de fuir en fait.

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Activité sur Phantom Busters, tome 2