Critique de Gemini par cesarsanchez
A écouter dans sa bagnoles, sur une route longeant la mer, la fenetre grande ouverte et le vent dans les cheveux.
Par
le 5 mars 2012
Après l’échec du deuxième album de Wild Nothing sorti en 2012, le dénommé Nocturne, revenons sur Gemini, le premier opus de Jack Tatum, à l’époque passé inaperçu. Gemini mérite cette petite rétrospective, déjà parce qu’il a été composé et joué seul (un défi personnel en somme), mais aussi parce qu’il rappelle de bons souvenirs. Les bons souvenirs en question s’appellent Slowdive (*). Cela fait des années que la comète de la dream pop s’est éteinte, mais l’homme derrière Wild Nothing, avec Gemini, ravive la flamme d’une manière assez inattendue.
Lire la suite ici : http://www.bubzine.fr/2013/01/18/wild-nothing-gemini/
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Créée
le 3 janv. 2019
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