Les années 80 ne sont pas mortes ! Peuvent-elles seulement mourrir pour le mi-quarantenaire qu’est votre humble serviteur ? MGMT le confirme avec ce nouvel album électro, synthé-pop et psychédélique.
Boîtes à rythmes et synthé ont la part belle dans ce Little Dark Age. Vous m’excuserez mon manque d’objectivité. Cet album me flatte, me caresse dans le sens du poil.
Ouverture avec le sautillant « She World Out TO Much » à classer dans la catégorie « Dance » ? Premier morceau trompeur qui selon moi ne reflète pas l’ambiance générale dégagée par le reste de l’album.
Little Dark Age: Excellent morceau, l’ame Profonde de l’album. On retrouve les influences de Depeche Mode et OMD. Grosse satisfaction pour ce titre. Ca donne envie de mettre le son fort dans le salon et de forcer son voisin à venir sonner chez vous pour vous engueuler.
When You Die : Présence de guitares, petite gimmick sympa. L’un des morceau le plus pop de l’album. Un titre très dansant et que l’on pourrait demander au public de reprendre en cœur !
Me and Mickael
L’un de mes morceaux préférés. Simple et efficace. Refrain entêtant qui vient se coller au fond de votre cortex pour vous harceler pour toute journée. Ca fait plaisir, ca donne la banane et la aussi on mettrait bien plus fort mais le voisin est déjà venu une fois, alors...
TSLAMP : Kezaco ? Si quelqu’un sait ce que cela signifie, il me fait signe ?
On reste dans l’univers Pop synthé. Pour moi, c’est un titre de transition. Une petite pause entre l’entrée et le plat principal ?
James : Morceau nappé, suave et doux. Ca vous coule dans le creux de l’oreille. Piano, synthé, voix.
Days That Got Away : Morceau expérimental quasi instru. Dans le sillage de Saint-Germain ou de Chlorine Free. Pour amateurs exclusivement.
One Thing Left To Try : Morceau pop-synthé à souhait. J’adore. Le voisin est parti ?
When You’re Small : Grosse repompe des Floyd ? C’est plutôt réussi. Un samedi soir, un petit Sky et un bon canapé, et When You’re Small. Le bonheur quand je veux !
Hand It Over : Mon morceau coup de cœur. On sent l’influence de Mercurey Rave (David Fridmann à la production). Ce morceau est beau et délicat. La classe ! On termine en beauté.