Un album du monde d'en haut
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Coco Bryce nous gratifie depuis quelques années, avec quelques autres noms déjà cultes (Tim Reaper, Dead man's Chest, Response & Pliskin...), d'un revival Jungle d'une grande qualité. Le néerlandais est capable d'une très grande diversité de styles dans ses déjà innombrables sorties. Cependant, ici, on sent qu'il a voulu composer un album, une oeuvre cohérente. Les morceaux de Night On Earth sont éloignées des tracks dansantes et bariolées qu'il publie généralement. La jungle est ici posée, atmosphérique, ce qui en fait un excellent disque de salon. Même si l'album a ses sommets (Wish we didn't, Killing Me, Vertigo), on ne peut pas vraiment parler de singles : l'album s'expérimente de préférence dans sa continuité.
La pochette décrit parfaitement le mood de l'album : la rue, la nuit, et l'esprit qui s'égare. Les racines musicales de l'artistes et son identité sont omniprésente : la science du sampling, des synthés sensuels et des rythmes syncopés est ici à son plus haut niveau.
La frénésie créatrice de Coco Bryce bat son plein. Ne le perdez pas de vue !
Créée
le 30 nov. 2020
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