Aldebert a deux points fort : les paroles ciselées et l'orchestration des musiques. C'est le cas avec cet album mais je n'ai pas été touché pour autant...



  1. Saint' Nitouche : Une ambiance bluesy jazzy sympa mais j'ai trouvé les paroles à propose de la rencontre avec une fille très moyennement intéressantes et surtout, répétitives.

  2. Tête en l'air : La vision d'un gamin qui préfère s'amuser. Bon, c'est bien écrit, il y a de bonnes formules mais cette fois, je n'ai pas été emballé par la musique...

  3. La Méthode couette : Ode au farniente, musique qui flirte avec le reggae, plein de jeux de mots sympa mais au final, je me suis dit "tout ça pour ça ?"...

  4. Indélébile : On dirait presque du Bruel, par moments, cette chanson sur l'apparence qui se contente plus d'une énumération amusante mais sans réel sens. J'aurais préféré un texte plus en profondeur...

  5. Rentrée des classes : La chanson qui préfigure l'album suivant et les enfantillages, voilà une bonne musique, enjouée, ce qui rend parfois quelque phrase un peu dure à saisir, mais avec une chouette histoire sur la rentrée des classes, tendre et drôle.

  6. Sur place ou à emporter : Oui, les phrases sont bien faites, comme toujours, mais je n'ai pas accroché du tout au sens, pas plus qu'à la musique trop tristoune...

  7. La Dame aux Camel Lights : Des images bien présentées mais qui n'ont pas résonné chez moi, pas plus que la musique.

  8. Casanova ou Quasimodo : Comme la précédente, tout ça pour le jeu de mot ? Des paroles trop anecdotiques, sans fond, sur une musique pourtant parfaitement orchestrée.

  9. Hypocondriaque : il y a un accompagnement un peu appuyé, un peu lourd, que j'ai trouvé décalé par rapport à des paroles qui, elles, ne m'ont pas parlé...

  10. Noctambule : Des paroles amusantes mais encore descriptives qui ne présente que des faits de la vie que je peux vivre moi-même avec une musique dont le thème ne m'a pas été très clair et facile à suivre...

  11. Rien qu'un été : Encore une fois, une bonne musique bien orchestrée mais des souvenirs de vacances qui ne me touchent pas du tout.

  12. Petite Peine : Une musique ronronnante ; j'ai à peine suivi les paroles.
    12 bis (piste cachée). Gueule de bois : Enfin ! Enfin une bonne musique qui est parfaitement en accord avec des paroles qui racontent quelque chose de plus parlant parce que tout le monde a eu un jour la gueule de bois !


Encore et toujours de la qualité chez Aldebert mais on n'a pas été en phase sur cet album, lui et moi...

Cellophane
6
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le 10 févr. 2016

Critique lue 83 fois

Cellophane

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