Pour purger les matins grognons et les nuits grinçantes. L'imagination se débride et Londres brûle tandis que le vendredi devient un livre de Frank Miller qui aurait croisé Corto Maltese. La poésie du contraste et la violence de l'esthétique. Reprenez des forces.
Misarweth
8
Écrit par

Créée

le 18 juin 2012

Critique lue 321 fois

Misarweth

Écrit par

Critique lue 321 fois

D'autres avis sur The Good, the Bad & the Queen

The Good, the Bad & the Queen
jimbomaniac
5

franche deception

Finalement de tous les projets parallèles a Blur réalisés par damon Albarn je dois avouer que 'the good ,the bad & the queen est celui qui m'aura le plus déçu .Pourtant j'avais découvert l'album...

le 27 mars 2016

The Good, the Bad & the Queen
Misarweth
8

Critique de The Good, the Bad & the Queen par Misarweth

Pour purger les matins grognons et les nuits grinçantes. L'imagination se débride et Londres brûle tandis que le vendredi devient un livre de Frank Miller qui aurait croisé Corto Maltese. La poésie...

le 18 juin 2012

Du même critique

No pasarán, le jeu
Misarweth
8

Le gamer politique

Classé en fantastique après quelques hésitations, les puristes se récrieront, je prend le risque. Livre certes dans une collection s'adressant à l'origine plutôt aux adolescents mais qui, dans son...

le 27 mars 2011

9 j'aime

Spinoza encule Hegel
Misarweth
10

Critique de Spinoza encule Hegel par Misarweth

Avant Mad Max, après mai 68, il y a Pouy. Petit opus, qui se lit vite, qui se déguste par paragraphe. Ça exhale la furie, ça suinte la référence littéraire, ça délire la nomination. Les piteuses...

le 27 mars 2011

9 j'aime