Visiblement, Amanda Palmer a beaucoup de choses à nous dire si l’on en juge par sa logorrhée sur There will be no intermission. On aurait aimé en dire autant de ses compositions qui, elles, tournent très vite en rond. On sent l’américaine bien éparpillée depuis que l’aventure des Dresden Dolls a pris fin : il faut dire que son ex binôme, Brian Viglione, est sans doute l’un des meilleurs batteurs de sa génération. Seule (ou presque) avec son piano ou son ukulélé, Palmer a perdu en énergie autant qu’en expressivité.
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