Holy Grail. Pas le film, le groupe de metal.

Cher lecteur, tu le sais, lorsque j'écris une critique, même si j'essaye d'être objectif quand je surkiffe à mort un truc qui roxxe de la cacahuète en tritium, j'aime déblatérer et essayer de raconter des trucs, à défaut d'être un bon critique.


Or donc, je vais dire des trucs sur un groupe auquel je n'arrive pas à reprocher quoi que ce soit.


Holy Grail, donc. Holy Grail groupe de...de... ...un groupe de metal (que je range dans le genre du speed et/ou du thrash, à défaut de savoir le genre exact du groupe, vu qu'il existe autant de genre de metal et encore plus de sous-genre de metal que de chaussettes perdues par toutes les machines à laver du monde, soit un très, TRÈS GROS PAQUET, fichtre.).


Holy Grail est un groupe de metal, donc, originaire (si je me plante pas) de San Francisco, dans ce beau pays qu'est les Etats-Unis (à vous de juger si le qualificatif était sarcastique ou non. Même moi je cherche encore)


Holy Grail n'a RIEN à voir avec le véritable Saint-Graal (oui, j'aime le groupe, mais faut pas déconner), ni avec l'excellent film des Monty Python. Même si à mon humble avis, il partage un élément : l'excellence, justement.


Voilà. Pour mon amour du groupe, c'est fait.


Or donc, Times of Pride and Peril.
J'ai attendu cet album un bon moment. Depuis que j'ai usé la galette de leur album précédent.
Et pour tout vous dire, j'ai eu peur que l'album ne sorte jamais, vu que le lead guitarist a eu la très bonne idée de participer et de partir en tournée un moment avec un autre groupe que j'aime beaucoup, Huntress (celui-là, je vous le recommande aussi, même si j'ai un peu plus de mal avec certains titres.)


Pourtant, il est sorti. Il est sorti après avoir été annoncé quelque part dans mon fil twitter (parce que oui, je suis abonné au groupe sur twitter) entre une photo de chaton et un article polémique (disclaimer : le contenu des tweets entourant l'annonce de l'album n'est peut-être pas tout à fait exact).
Comme ça. Un peu sorti de nulle part.


Joie immense dans mon coeur de loutre, et bond sur ma chaise.
Mais, comme à l'écoute de l'album précédent, doute. Doute parce que malgré mon soutien inconditionnel au groupe et mon appréciation sans limite de l'oeuvre du groupe, la nouveauté me laisse perplexe à chaque fois.
Doute à la question "Plus ou moins de temps pour adorer, par rapport au disque précédent ?"


Et soudain, single sur YouTube, "Descent into the Maelstrom".
Et soudain, amour total.
Puis ensuite, écoute sur Deezer (vu qu'impossibilité de trouver la galette chez un bon disquaire).
Re-belote, amour total.


L'album en lui-même est une évolution pour le groupe. Les mélodies et sonorités sont toujours dans la même veine (et je vais pas m'en plaindre), mais on sent une certaine évolution dans la technique, celle du groupe comme celle des ingés-son qui produisent le truc derrière.
Et c'est chouette, parce que ça déchire toujours autant.


Je n'ai qu'une chose à dire : écoutez l'album, écoutez le groupe.


...Et bordel, trouvez-moi des places pour le groupe si jamais il fait un passage en France.
...Plutôt ça, ouais : faites venir le groupe faire quelques concerts en France.

RogerLaLoutre
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le 6 juin 2016

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