Personnellement, si au bout d’un quart de siècle et de 10 albums je sortais encore des albums de la trempe de All Colors of Darkness, je flipperais que de gros labos pharmaceutiques veuillent me disséquer afin de trouver le secret de la vie éternelle ou de mettre au point une formule améliorée du Viagra. Parce que ce sacré nom d’album pète le feu, arrose sévèrement, tout en changeant régulièrement de pied d’appui et en versant suffisamment de mélodies pour nous rendre multiplement addicts. L’une des grosses surprises « Death à l’ancienne sur charbons ardents » de 2022, sans aucun doute !