Chocolat par dhjghdfjghdfjhgfhj

e titre de cet album est un comportement constamment remodelé qui a atteint sa forme la plus parfaite. Leur vision, leur raffinement, leur perfection sont arrivés. C’est ce que les gens disent, la confiance est la clé, c’est une preuve de concept: une équipe a été relâchée pour la deuxième fois de suite, maintenant dans le demi-drapeau, montrant plus de confiance et de détermination que quiconque, plus grosse itération. Il peut être difficile pour les gens de présenter 14 bandes sous la forme de squelettes, mais il s’agit de structures mécaniques, structurelles et généralement thématiques, avec des rebonds en os glissant sur le sol, comme des lustres tombés au sol, grincant sur les côtes. Paralysie dynamique, mort, deuil.

La clé joue une peur méprisable qui plane à l'horizon sur ce travail, comme le brouillard, les sorcières et l'humidité, à l'horizon (j'en suis un). Sofia Jernberg et Mariam Wallentin sont, comme toujours, transparentes et dirigées vers les anges de la nature. Leur harmonie est belle. The Soil is Calling a mis fin à leur voix dans l'un des moments les plus directs de l'album. Ils sonnent comme des lumières vives. Le couplage de ces deux chansons est parfait, je suis fasciné.

Des chansons séparées 2 et 4 sont la couverture de la flamme de cristal bleu de Robbie Basho qui ne peut être imitée, enfermant sa mélancolie idyllique dans la chaîne de la prison ou défilant dans une tenue funéraire. L'expression de cette chanson sera réitérée dans le prochain article, qui ressemble à un argument record.

La ligne commençant par "Tu es la glace et le tonnerre" sur l'arbre d'argent est la mélodie la plus douce du disque, un petit printemps, avant l'effondrement éternel qui l'entoure, "Rien, rien, rien" . 10 minutes. La clarinette basse à hélice sonne comme un froncement de sourcils. La chanteuse entra dans un subtil coup de frappe simultané, un pur bonheur volcanique et le violon frappé entre les sons vacillants, tels que des cendres semblables à la foudre.

Paroles 5, portant de la fumée. Blown Away, ("No Discovery") ("Est-ce vraiment la peine?") ("Sweet memories" s'étouffe en silence) sonne comme le style lyrique du baryton cynique de Mats Gustafsson, qui pour moi a fait exploser On dirait qu'ils sont identiques au courant électronique et que les sons de Sophia et Mariam ont parfois des distorsions surréalistes (Warrenting a passé le "net, net, net pour me réparer"). C'est la partie de l'album qui sonne le plus comme Fire! Correct, sévère et tendu, Mats a d'abord pris la commande au dossier.

La chanson 6 est la piste la plus courte, et semble suivre un indice similaire à celui de l'ouverture, mais soudainement interrompue il y a trois minutes, donnant la reprise balladique de The Last I Am Free de Chic, alors que le scepticisme général souligne l'ambiance de l'album. Tout à coup, il est devenu intenable et le reste était libre. Il semble que tous les sujets du disque n'existent pas dans la chair, mais existent à l'extérieur, ce qui donne l'impression d'attirer ou de s'abandonner au monde intérieur.

L'arrivée des trois premières œuvres du groupe flou est complètement différente, mais l'esprit existe toujours et l'esprit est fort. L’orchestre semble toujours partager les convictions avec les actions des naturalistes et des occultistes, rendant leur travail beau et sombre, des pétales délicats et musclés, chauds et acérés comme des dagues sacrificielles, des noirs et des galaxies noirs, des bois de cerf et d’argent, Fascinant. Ces qualités ont un nouveau fond à l'arrivée. Les gens peuvent s'en tenir à l'obsession de l'ontologie et utiliser uniquement les bâtiments construits par le nuage pour remplir votre musique. Le ciel.