le 9 août 2017
Du Post-Rock qu'a des choses à dire
Petite découverte sur ce groupe australien, plutôt méconnu. Voici du Post-Rock somme toute assez classique, avec une petite tendance ambiante, mais qui sait se déchainer à ses heures. Les...
Application SensCritique : Une semaine après sa sortie, on fait le point ici.
Petite découverte sur ce groupe australien, plutôt méconnu. Voici du Post-Rock somme toute assez classique, avec une petite tendance ambiante, mais qui sait se déchainer à ses heures. Les compositions sont longues (de 6 à 23 minutes), mais même si le thème évolue peu, les rythmes varient, et les atmosphères changent...
La première piste introductive, "A Gallant Gentleman", montre un peu ce que le groupe sait faire, sans trop en dévoiler : il commence par nous appâter avec des rythme lents, une atmosphère posée, une mélodie calme. Il accompagne le tout tranquillement, sans trop en faire, jusqu'au moment où les instruments commencent par s'animer, s'agiter, puis finissent par exploser. Voilà ce qu'est We Lost The Sea !
Sur la seconde piste, "Bogatyri", le groupe reprend la même formule, mais passe de 6 à 12 minutes... Il faut prendre un peu plus de temps pour arriver aux bonnes choses, tout en appréciant la montée progressive en charge.
"The Last Dive of David Shaw" sera le pilier de l'album, avec 17 minutes, tout de même. Un début qui tarde peut-être à se lancer, comme si les deux premières minutes faisaient la transition d'une piste à l'autre. Puis les instruments prennent le relais. Très discret, presque simpliste, le groupe arrive tout de même a créer une réelle ambiance. On écoute tranquillement, le morceau avance, jusqu'au moment où on sent que le groupe ne s'arrêtera pas là... Et l'explosion instrumentale mène au bijou du morceau, là où chaque membre exprime son talent, là où la magie s'opère... Voilà ce que j'aime avec We Lost The Sea, c'est cette capacité à sublimer chaque instant...
Les deux dernières pistes, "Challenger Part 1 et 2", sont un poil plus longues (23 + 8 minutes...) et sont un peu en deçà des précédentes, mais avec quelques passages intéressants, qu'il faut traquer...
En définitive, ils ont peut-être perdu la mer, mais l'inspiration est bien là ! Le site officiel permet d'écouter quelques pistes, si vous êtes curieux. Avec le recul, ce groupe n'a rien de particulier. Et pourtant, cet album a quelque chose de spécial que je suis incapable de décrire. En vérité, je ne saurais pas expliquer pourquoi, mais cet album me parle. Il a des choses à me raconter. Écoutez donc, peut-être souhaite-t'il vous dire des choses aussi ?
Créée
le 9 août 2017
Critique lue 466 fois
le 9 août 2017
Petite découverte sur ce groupe australien, plutôt méconnu. Voici du Post-Rock somme toute assez classique, avec une petite tendance ambiante, mais qui sait se déchainer à ses heures. Les...
le 5 déc. 2020
Concept album sensationnel et envoutant, les sonorités des guitares sont absolument magnifiques et les autres instruments ne sont pas en reste (piano, cordes, synthés...) Enfin, les différents...
le 9 août 2017
Petite découverte sur ce groupe australien, plutôt méconnu. Voici du Post-Rock somme toute assez classique, avec une petite tendance ambiante, mais qui sait se déchainer à ses heures. Les...
le 28 sept. 2017
Alors oui, je saque. Et ce, même pour une seule chanson : "je joue de la musique". (Je n'ai pas même pris le temps d'écouter le reste de l'album) Je reconnais ne pas être un grand fan de Calogero...
le 14 janv. 2021
Personne pour critiquer Spurv ? Et bien mes amis, vous avez tort. Car voici Myra, et c'est du lourd ! Nous avons ici un album post-rock, peut-être finement post-metal, qui nous vient tout droit de...
NOUVELLE APP MOBILE.
NOUVELLE EXPÉRIENCE.
Téléchargez l’app SensCritique, explorez, vibrez et partagez vos avis sur vos œuvres préférées.

À proposNotre application mobile Notre extensionAideNous contacterEmploiL'éditoCGUAmazonSOTA
© 2025 SensCritique