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En 1981, le Blue Öyster Cult est tout simplement au sommet de sa carrière : la hype qui avait accompagné son impressionnant décollage s'est tarie, permettant de faire le tri entre les véritables qualités - immenses - du groupe, et les excès d'une image pas toujours bien contrôlée. Le grand public n'a de toute manière jamais véritablement suivi, et le méchant virage "Rock FM" n'a servi à rien. Après le retour au Hard classique et impitoyable de "Cultösaurus Erectus", "Fire of Unknown Origin" voit BÖC célébrer ses... origines à lui, bien connues : soit la S.F. conceptuelle et graphique des années 70, telle que la revue Métal Hurlant l'incarnait (l'album est partiellement la BO du film "Heavy Metal"), et qui prend musicalement vie ici, chanson après chanson, de la manière la plus grisante qui soit.
Une décennie plus tard, voici un "classique" un peu oublié, mais qui sera, n'en doutons pas, redécouvert un jour par des fans émerveillés...
[Critique écrite en 1993]
Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes Mes 250 albums indispensables de l'histoire du Rock [en construction], Mes 10 albums préférés de 1981 et Une secte qui vous veut du bien, le Blue Öyster Cult
Créée
le 6 juin 2014
Critique lue 957 fois
Fire of Unknown Origin
10
le 12 juil. 2014
Réduire un album génial à une seule chanson, aussi exceptionnelle soit-elle, ne pourrait que jeter le trouble sur la partialité du chroniqueur. Et pourtant, difficile ici d'échapper à l'ombre...
Fire of Unknown Origin
le 6 juin 2014
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le 28 déc. 2019
Si j'inclus les disques live, les deux meilleures périodes du groupe sont, à mon humble avis, tout d'abord 1973-1975, et ensuite, le renouveau grâce à Martin Birch, 1980-1982. Cet album s'inscrit...
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