Avec cet album, Stephin Merritt et son groupe renouent avec les mélanges entre sons acoustiques et synthétiques succédant ainsi à la trilogie parue entre 2004 et 2010 dans laquelle la contrainte était de ne justement pas travailler avec des synthétiseurs. Sans atteindre les sommets de "69 Love Songs", l'écriture de Merritt reste ici d'une efficacité redoutable et fait de ce "Love at the Bottom of the Sea" une franche réussite.
DavidMennessier
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le 4 déc. 2014

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