Si la production, volontairement aride, de My Finest Work Yet peut au départ laisser l’auditeur à distance, c’est précisément l’état naturel de ces compositions, de facture classique, qui finit par séduire : sans fard, les mélodies douces amères du violoniste siffleur imposent lentement et sûrement leur beauté brute, nous donnant la sensation d’assister dans un salon cosy à un concert privé d’un petit génie du songwriting bel et bien sous-estimé.
Lire la suite ici : http://www.bubzine.fr/2019/07/21/andrew-bird-my-finest-work-yet/

Francois-Corda
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le 21 juil. 2019

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