Homework
10
le 21 déc. 2011
Fondateur...
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Chef d'oeuvre méconnu...
Amateurs d'electro et de bigbeat, mâtinée de gros son rock, cet album est fait pour vous.
Même si Junkie XL est plus connu pour son remix d'Elvis circa 2002 ou ses projets electrolounge un peu mous du genou, les deux premiers LP du projet JXL sont tout bonnement exceptionnels et font partie des tout meilleurs albums electro de tous les temps (et voui, tout simplement). Ce "debut LP" est un véritable rollercoaster, qui s'écoute dans son intégralité, comme un ride de Space Mountain sous acide.
Commençant par le très rock "Underachievers", qui donne bien le ton de l'album, l'album prend très vite son envol, passant par les monumentaux No Remorse, Metrolike, mais surtout le diptyque Dealing with the Roster/ Fight, le premier étant Prodigy-esque façon Fat of the Land (le beat a des relents prononcés de Smack my Bitch Up), le second étant une hallu electro de haut niveau (avec cette boucle diabolique, toupie sonore enivrante), qui constituent mon gros temps fort de l'album.
La redescente n'est pas si calme que cela, car quelques pépites vous attendent encore, alternance entre morceaux plus rock et calmes ("Melange") et bigbeat endiablés ("Def Beat").
Future in Computer Hell, qui clôt l'album, résume bien cela (ne manquez pas la ghost track, exceptionnelle!!)
A noter que je ne peux considérer cet album sans son petit frère, Big Sounds of the Drags, qui est d'une construction et d'une qualité équivalentes.
Un sacré chef d'oeuvre, méconnu...
Même si Junkie XL est plus connu pour son remix d'Elvis circa 2002 ou ses projets electrolounge un peu mous du genou, les deux premiers LP du projet JXL sont tout bonnement exceptionnels et font partie des tout meilleurs albums electro de tous les temps (et voui, tout simplement). Ce "debut LP" est un véritable rollercoaster, qui s'écoute dans son intégralité, comme un ride de Space Mountain sous acide.
Commençant par le très rock "Underachievers", qui donne bien le ton de l'album, l'album prend très vite son envol, passant par les monumentaux No Remorse, Metrolike, mais surtout le diptyque Dealing with the Roster/ Fight, le premier étant Prodigy-esque façon Fat of the Land (le beat a des relents prononcés de Smack my Bitch Up), le second étant une hallu electro de haut niveau (avec cette boucle diabolique, toupie sonore enivrante), qui constituent mon gros temps fort de l'album.
La redescente n'est pas si calme que cela, car quelques pépites vous attendent encore, alternance entre morceaux plus rock et calmes ("Melange") et bigbeat endiablés ("Def Beat").
Future in Computer Hell, qui clôt l'album, résume bien cela (ne manquez pas la ghost track, exceptionnelle!!)
A noter que je ne peux considérer cet album sans son petit frère, Big Sounds of the Drags, qui est d'une construction et d'une qualité équivalentes.
Un sacré chef d'oeuvre, méconnu...
9
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Créée
le 2 mars 2012
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