The Mix-Up
le 2 janv. 2012
Espace lounge
Sortir un album entièrement instrumental, les Beastie Boys ne l'avaient jamais fait mais on ne peut pas parler dinnovation étant donné que les albums précédents comportaient des pistes instrumentales...
SensCritique a changé. On vous dit tout ici.
B-Boys Makin' With the Freak Freak
Il y a une dizaine d’années, les Beastie Boys étaient (re)connus à un niveau intergalactique.
En 2007, ces anciens adeptes du punk-hardcore (écoutez Egg Raid On Mojo) convertis en maestros du hip-hop trouvaient encore le moyen de s'amuser et de nous faire plaisir.
Sur «The Mix-Up», septième album studio du trio new-yorkais, les Beastie Boys passent le micro et ne chantent pas. Fiers de commettre le sabotage de leur image avec des instrumentaux jazz-rock-psyché très seventies mais aussi de montrer leur gratitude envers beaucoup d’artistes funky samplés dans leurs morceaux.
Pourtant, ce n’est pas véritablement un nouveau style. Les Beastie Boys retrouvent ici un genre qu’ils nous avaient déjà proposé en 1996 sur la compilation «The In Sound From Way Out !». Cet album aussi était totalement instrumental mais il ne faisait que reprendre les titres les plus groove présents sur «Check Your Head» et «Ill Communication».
Cette fois, c’est du neuf et du bon : Mike D, MCA et Ad-Rock étant des musiciens autant que des chanteurs.
Décidément, les monstres sacrés du «old school rap» nous en feront toujours voir de toutes les couleurs. Les racines de ces blancs puisent dans la musique noire. Que voulez-vous donc de plus ?
Petit jeu : retrouvez des références à des titres des Beastie Boys cachées dans cette chronique.
En 2007, ces anciens adeptes du punk-hardcore (écoutez Egg Raid On Mojo) convertis en maestros du hip-hop trouvaient encore le moyen de s'amuser et de nous faire plaisir.
Sur «The Mix-Up», septième album studio du trio new-yorkais, les Beastie Boys passent le micro et ne chantent pas. Fiers de commettre le sabotage de leur image avec des instrumentaux jazz-rock-psyché très seventies mais aussi de montrer leur gratitude envers beaucoup d’artistes funky samplés dans leurs morceaux.
Pourtant, ce n’est pas véritablement un nouveau style. Les Beastie Boys retrouvent ici un genre qu’ils nous avaient déjà proposé en 1996 sur la compilation «The In Sound From Way Out !». Cet album aussi était totalement instrumental mais il ne faisait que reprendre les titres les plus groove présents sur «Check Your Head» et «Ill Communication».
Cette fois, c’est du neuf et du bon : Mike D, MCA et Ad-Rock étant des musiciens autant que des chanteurs.
Décidément, les monstres sacrés du «old school rap» nous en feront toujours voir de toutes les couleurs. Les racines de ces blancs puisent dans la musique noire. Que voulez-vous donc de plus ?
Petit jeu : retrouvez des références à des titres des Beastie Boys cachées dans cette chronique.
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Créée
le 16 août 2012
Modifiée
le 16 août 2012
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