Things to Be Frickled
6.6
Things to Be Frickled

Compilation de Apparat (2008)

Episode 1 ici : https://www.senscritique.com/album/sleep_dirt/critique/267034691

Episode 2 ici : https://www.senscritique.com/livre/Le_Club_des_hachichins/critique/278869060

Episode 3 ici : https://www.senscritique.com/album/Legend_of_the_Black_Shawarma/critique/283280317

Episode 4 ici : https://www.senscritique.com/morceau/epitaph/critique/289182432

Episode 5 ici : https://www.senscritique.com/album/the_xenon_codex/critique/297223817

Episode 6 ici : https://www.senscritique.com/album/nightclubbing/critique/245696093

Episode 7 ici : https://www.senscritique.com/album/Couleurs_Naturelles/critique/300566933

Episode 8 ici : https://www.senscritique.com/album/unreasonable_behaviour/critique/221157643

Episode 9 ici : https://www.senscritique.com/album/Fruit_de_la_Passion/critique/297036979

Episode 10 ici : https://www.senscritique.com/album/spectres/critique/77155984

Episode 11 ici : https://www.senscritique.com/album/Quelle_Joie/critique/317934664

En bas Phil s’était accoudé au bar psychédélique avec, le croiriez-vous ?... Un jus de tomate ! Il prenait son rôle organisationnel très au sérieux et promis, juré, il ne commencerait à s’arsouiller qu’à minuit pétantes ! Son regard embrassait toute la salle. L’heure était à la détente. Le calme avant la tempête…Moment délicieux où tu savoures, où tu supputes, où tu espères la venue imminente d’un plaisir total. Dans sa petite caboche de jeunot insouciant s’entrechoquaient un passé tout petit et pas toujours très gai dominé par une immense figure lourde et malfaisante, un présent tout de miel et un futur…Futur ? Quel futur ? Pour quoi le futur ? La meilleure solution pour gâcher sa vie c’est de penser au futur. Et puis quelle importance…No futur comme chantait Johnny le Pourri y a pas si longtemps !

Pas mal d’invités étaient déjà arrivés. Phil compta rapidement. Peut-être une centaine de personnes mais pas encore les huiles du show bises…Héhéhé ! Une musique tout en coolitude groovy coulait des enceintes bien loin de leur potentiel maximal. De l’autre côté sur son estrade Akoun éclairé de rouge était très affairé. Il jouait avec les potards sonores de ses platines pour bien se mettre en main tous les réglages. C’était pour lui une routine, un peu comme s’il faisait des gammes en attendant de laisser libre cours à sa créativité. Sur sa gauche il avait installé un gros ventilateur enjolivé par une guirlande de Noël aux ailettes peintes en rose et au corps jaune qui lui permettrait d’échapper aux fumées diverses…Cigarettes, tarpés, fumigènes. Il semblait que le purificateur d’air suspendu au plafond remplissait bien son office et les fumées, les fragrances diverses montaient doucement en volutes spiralaires diaphanes. Au centre du dôme ou bol renversé, une scène centrale d'une dizaine de mètres de diamètre et surélevée d'un tout petit trente centimètres avait été installée. La bande à Frankie avait fait du beau boulot ! Celle-ci était blanche et ouvragée. Blancheur spectrale. Des incrustations ciselées fines et confidentielles la rayaient en tous sens. Schéma bizarroïde fait de veines noires…Des artistes inconnus mais des artistes pour un dance floor magnifique. Pour le moment celui-ci était parsemé de danseurs hésitants. Certains affectaient un air concentré, d’autres se laissaient aller mollement alors que ceux qui avaient gardé un verre à la main y puisaient régulièrement pour se donner une contenance ou pour chercher une ivresse qui les délivrerait de leurs inhibitions et les propulserait dans un monde gai et coloré. Il en est ainsi. Tous les danseurs, tous les buveurs, tous les camés de ce monde fuient à toutes jambes. Les addicts de cette planète, c’est-à-dire nous, nous tous, sont juste des fuyards malades ! Malades de leurs études puis du travail, malades de leur enfance parfois/souvent bouleversée par un père tyrannique, une mère qui subit, malades de l’absence ou de trop de présence, malades de leurs soucis, de leurs crédits, de leurs créances, de cette dette qui profite à un étage plus élevé que le leur, malades du monde qui va mal avec ses guerres, ses famines, ses bouleversements climatiques, malades des inégalités violentes, malades de la violence, malades de la douleur, malades de l’argent, de cette caillasse qu’il faut avoir pour s’en sortir ou pour briller, malade de cette ploutocratie qui s’affiche sans honte, qui est prête à tuer, à écraser, pour se maintenir…détail…, malade du consumérisme qui les consume et consume leur support, malade de l’amour avec ses gosses et ses déchirures, ses divorces et ses fêlures, malades de cette fausse vertu affichée sans honte, malades de la pollution qui les fait tousser en ville alors que les rats infestent leurs poubelles, malades de leurs addictions, malades de ce circus dans lequel iels évoluent sans contrôle aucun, malades sans qu’iels le sachent ou le sachant trop bien ! Très peu sont conscients, la grande majorité choisit de vivre, d’avancer…quoiqu’il advienne. Les œillères iels les ont posé volontairement, iels ont consenti alors que très peu dissentent. De fait une grande majorité vit avec ses chaines dans un bonheur insoutenable. Pour supporter iels courent, s’enfuient, tentent de s’échapper. Iels n’ont de cesse chaque jour d’oublier cette condition humaine inéluctable, irréfragable, cette angoisse ou solitude existentielle qui les ronge de l’intérieur et pousse une minorité à disparaitre, à se gommer…s’anéantir.

Phil qu’on aurait pu qualifier de Phil le bienheureux porta son regard sur la sortie du serpent couloir orangé descendant du dépôt secret. On aurait dit que le rythme s’accélérait car la bouche dégueulait régulièrement des personnes au regard surpris mais enjoué arborant de larges sourires voire esclaffées en découvrant le lieu après avoir frissonné dans le couloir ossuaire. Phil resta bien une demi-heure à détailler les nouveaux arrivants en sirotant son jus de tomates qu’il avait transformé « à l’insu de son plein gré » en Bloody Mary. Oh il n’était pas dupe et il avait demandé sciemment à la serveuse de transformer son jus en cocktail. Au moment où il tournait casaque il se rappela cette soirée où un pote musulman s’envoyait un grand verre de tord boyaux sucré vert fluo très fort. Quand Phil lui demanda si sa religion n’impliquait pas l’abstinence d’alcool, il répliqua sur un ton brumeux tout en louchant sur sa conso qu’il s’était trompé de glass et repartit dans le sens inverse tout en continuant à siroter. Ce souvenir lui poussa un sourire béat qui l’emplit de bien être ou était-ce la vodka…certainement les deux. La salle commençait à bien se remplir. A cet instant une quinzaine de personnes sapées très classe et visiblement très excitées déboulèrent. Le jeune dandy « sport » reconnut sans peine presque tout le « gratin », « les huiles » de cette soirée. Tout d’abord le présentateur télé Jean Hugh Alarue cocaïnomane carnassier notoire, tronche de premier d’la classe ou mieux gendre idéal aux dents bien blanches, au hâle salon de bronzage tendaaaaance affublé d’un costard alpaga trois pièces moulant surtout là où tu sais - mae lecteurice chéri.e - couleur crème so chic sur cravate rouge à fleurs de lys, le tout dominant des pompes beige clair hors de prix et exagérément pointues. A son bras pendait une blondasse, présentatrice et animatrice du Paf Sofia Daprès au nez fin, à la bouche large, aux yeux amandes délurés plutôt canon…jambes longues supportant un tailleur jupe lui aussi crème mais plus orangé très court, fendu de surcroit sur de belles cuisses oblongues…petit boléro largement ouvert comme son chemisier blanc tendu exagérément par une poitrine luxueuse du style qu’tu peux pas t’payer, certainement boostée à la chirurgie esthétique malgré son jeune âge. Pour terminer une paire de sandales rouges à petits talons pointus mettaient ses orteils nacrés en valeur. Derrière d’eux il sembla à Phil reconnaitre un producteur richous de la Tévé. Le genre qui chie de l’or et qui pisse du vin. Le genre qu’on écoute et qu’on ne coupe pas quand il jacte…pognon la plupart du temps. Probablement le plus âgé de la bande avec sa cinquantaine bien sonnée. Belle gueule tout de même avec ce nez en pointe taillé pour aller se fourrer partout si vous voyez c’que j’veux dire, surplombant un costard rouille à fines rayures blanches sur cravate immaculée et pompes italiennes idem. On l’aurait cru tout droit sorti d’un film de Maffieux il ne lui manquait qu’un Borsalino et une sulfateuse « Tommy gun » ! Illico presto Phil qui n’arrivait pas à retrouver son blaze et qui le trouvait ridicule avec sa panse poussant exagérément la ceinture trop serrée de son futal le nomma Roberto. Tout autour du trio comme les planètes d’un système solaire une douzaine de personnes dont deux trois chanteuses en vogue sur télé Dugland gravitait, papillonnait en rires et bla bla bruyants.

Les yeux brillaient déjà beaucoup, l’extase était proche. Le bonheur commençait à pointer le bout d’son nez. Factice ou pas peu importe il était là. Un bonheur transformiste qui mettait tout le monde à l’aise et communiquait une envie de s’amuser. Dans cet espace qui se comblait, les odeurs de fumées, de boissons diverses mais aussi de corps transpirant disputaient aux couleurs mouvantes, à la décoration psychédélique et au son qui avait monté d’un cran tout en permettant encore les conversations proches sans hurler.

Soudain au-dessus de la mêlée, une voix s’éleva :

- Jean Hugh, Jean Huuuugh !

Un petit gars encore bien jeune grandes oreilles, nez busqué et coupe en brosse venait d’entrer. Il hélait le présentateur de sa voix vaguement geignante et nasillarde.

- Nicooo ! Mon ami comment mais tu es là ?

Fendant les quelques mètres qui les séparaient les deux compères se donnèrent l’accolade et se mirent à échanger bruyamment. Ouiii c’est ça, c’était une espèce de politicard en vogue un jeune petit loup, Phil le reconnaissait maintenant, le genre fraichement émoulu d’une Supdeco quelconque, tu sais celles où on apprend à enculer les gens - C'est pas bien ! - et qui aime à s’estourbir au Ricard en chantant des chansons paillardes. Ça s’dit dl’a haute, ça bouffe, ça s’montre au Fouquet’s mais ça braille, ça dégueule comme un rugbyman de campagne à la troisième mi-temps. Franchement sa cabeza ne revenait pas à Phil qui se décida

tout de go à tracer vers la blonde maintenant légèrement de côté et qui laissait aller ses beaux yeux à la découverte des lieux. On peut dire qu’il n’avait pas perdu ses réflexes de dragueur impénitent.

- Salut, ma jolie. Vous m’avez l’air de chercher un endroit où laisser votre veste. Laissez-moi vous guider et, clin d’œil à l’appui, Je fais partie de l’organisation.

La louloute bien balancée avait l’air bien avancée sur le chemin de l’extase. Ses yeux savamment maquillés et sans ostentation brillaient. Ils la rendait encore plus troublante.

- Mais comment donc. Mais…Mmm, tu as un prénom.

- Oh bien sur je suis Phil…ibert…

- Ibert c’est ton nom susurra la belle en souriant largement ?

- No non, juste je m’appelle Philibert mais je n’aime pas trop mon prénom alors tu peux dire Phil si tu veux. Suis moi…Au fait toi tu es ?

- Sofia ! Ok Phil allons-y !

Puis s’accrochant au bras du garçon comme si c’était une bouée de secours elle le suivit avec une docilité qui ne manqua pas de laisser le jeune larron surpris mais content.

Arrivé au bar il déposa la veste. Puis s’approchant d’une douce oreille nacrée because les enceintes qui commençaient à cracher une techno virevoltante et d’une voix assurée :

- J’te commande quelque chose à boire Sofia ?

- Mais oui bien sûr, j’en ai vraiment besoin.

- Hmmm, Bloody mary ? Gin fizz ou Tonic ?...

- Gin tonic beau brun, oui c’est ça qu’il me faut ! Le pointant d’un doigt accusateur et c’est ça qu’il te faut !

S’adressant au serveur en agitant la main

- Hey man tu nous envoie deux Gin Tonic ?

- Deux Tonic ça roule !

- Super, merci ! Se retournant vers Sofia, alors comme ça tu bosses dans la téloche, au Paf j’veux dire !

- Au Paf t’as d’ces mots toi, t’es assez direct j’ai l’impression, tu sais où tu veux aller mais j’aime ça !

Phil ne comprit pas l’allusion mais se dit qu’il avait touché sinon le gros lot au moins un bon p’tit lot et que finalement il allait peut être moins boire que prévu mais la compensation serait avantageuse.

Le barman arriva avec les deux glass prestement :

- Trente balles mon ami !

- Comment ça trente balles mais je suis de l’orga comme toi !

- Yes mais une conso pour toi pas deux !

- Laisse Teddy et sers moi un glass aussi, tu sais mon spécial !

- Hé Frankie comme tu veux ma Boss !

Frankie était arrivé de côté et avait passé son bras autour du cou de Phil. Comme pour marquer son territoire elle caressait négligemment de sa main aux doigts fins et aux ongles courts et peints, les cheveux du Dandy en lorgnant d’un œil goguenard et sensuel sur Sofia. Phil surpris se mit à frétiller comme une anguille jetée hors de l’eau dans son futal à pinces blanc comme neige. Diantre deux pour le prix d’une dont une nouvelle expérience. Il faut dire que Frankie était dans son style vraiment bien foutue elle aussi. Phil s’était habitué maintenant et il n’avait plus de mal à dire « elle ». Se penchant vers elle il lui fit la bise histoire de ne pas trop passer pour un plouc. D’un sourire ravageur Frankie poursuivit :

- Tu me présentes ?

- Oui bien sûr, voici Sofia, Sofia voici Frankie. La…Boss donc de la soirée !

Sofia n’avait pas les yeux dans sa poche et ses prunelles couraient de la chemise largement ouverte sur le torse glabre et musclé de Phil à la poitrine fine et racée de Frankie mise en valeur par un chemisier noir transparent noué au-dessus d’un nombril piercé comme son sein gauche soit dit en passant.

La jeune trans et la jeune femme se firent la bise quatre fois comme en usage. Phil vit leurs narines fines frémir lorsque les peaux se touchèrent. Il retint sa respiration quand il constata que leurs lèvres se posaient au coin, à la commissure des lèvres de l’autre comme un prélude comme une invite silencieuse et délicieuse. Une petite goutte de sueur dévala sur son front.

- Ok reprit il, les présentations sont faites, trinquons…à la soirée…à vous deux !

- Yes trinquons reprit Frankie, trinquons d’un trait, à la russe et puis go ! J’te rappelle mon p’tit poulet que nous avons du travail ! Il nous faut monter chercher la bectance et puis après, c’est la bomba !

Choc de glass, musique tech entrainante, brouhaha grandissant, projecteurs éblouissants, sourires épanouis, verres brillants, poitrines tendues et haletantes…Les jeunes trinquèrent, avalèrent leurs verres sans fioriture. Un peu de liquide étincelant coula au coin des lèvres et les yeux se mirent à flamboyer…un peu plus !

- Je suis désolé Sofia mais je vais nous enlever Phil et moi pour un petit moment. Il nous faut chercher le moteur de cette soirée.

- Ouiiii, je sais vous avez concocté un plat très particulier. Jean Hugh m’a expliqué. J’ai hâte de goûter ça et ponctuant d’une œillade assassine…autre chooose.

Les deux filles s’approchèrent de nouveau pour un petit kiss mutin sur les lèvres. Phil ne savait trop que faire mais Sofia tournant la tête posa une main sur son cou et déposa un baiser d’oiseau au coin de ses lèvres.

La suite fut rapide de plus en plus de monde déboulait. Les bruits courent vite dans Paname surtout pour une fête chébran dans les catacombes. Frankie tira Phil par la manche iels retrouvèrent Blane, Siva et quelques potes, direction la cuisine pour aller récupérer les plateaux de « Black shawarma » que Mushroom magnifiait. Quand ils arrivèrent les jeunes gens furent estomaqués !

- No mais tu le crois ? dit Frankie ! C’est superbe ! Great Job môssieur le cuisiner ! Vous voyez ça, ces shawarmas noirs avec ces reflets brillants violets ?…c’est juste irréel ! Et puis ces couvercles transparents que tu as posés dessus ! Tu les as trouvés où ?

- Ouais, Ouais, Ouais, Ouais, Ouais, j’ai de la ressource. Que croyez-vous madame ? J’ai du répondant !

- Haha Mush, Madame t’es trop fendard, un vrai déglingo s’esclaffa Phil. En tout cas c’est vrai ta touche finale est on ne peut plus réussi. Mais qu’est ce t’as, t’as une drôle de voix ?

- J’ai un peu mal à la gorge, Ouais, Ouais, Ouais, Brrrrm brrm, Ouais, Ouais !

- Ok ok dit Blane je passe devant pour faire la trace. Siva tu descends dire à Akoun que les plats pour la cérémonie arrivent. Les autres : Chariots plateaux et en route !

- Prenez en soin ponctua Mush. Ces plats comme vous dites ce sont nos Hosties, notre pain azyme c’est un mets sacré, Hohoho ! Si Epitaph était là il pourrait dire qu’ils sont la transsubstantiation de Pazuzu !

- La quoi ? Décidément t’es trop bizarre toi jeta Phil !

Ni une, ni deux la petite troupe s’ébranla. Maintenant dans le couloir aux ossements on entendait la musique qui résonnait comme une promesse de félicité. En bas une ligne de chariots fut placée reliant la sono d’Akoun à la piste centrale. Imaginez le tableau en slow motion, yes visualisez la scène mes tout beaux, mes toutes belles…Akoun aux platines avec son gros ventilo flashy, son mètre quatre-vingt-dix dégingandé, affublé de splendides lunettes d’aviateur jaunes, d’un casque sur une oreille, un autre autour du cou, vêtu d’un blazer sans manche lui aussi jaune ouvert sur sa poitrine « skinny ». Akoun homme tronc dont on ne voit jamais les jambes en soirée balançant du son toujours meilleur pour agiter les danseurs selon son gré. Imaginez dans le noir lumineux de spots incandescents ces Black shawarmas étincelant d’une étrange lueur violette. On ne voit qu’eux, on ne regarde qu’eux. Quelque chose de magique s’est passé la température est montée de un, que dis-je, de deux crans. Tous les convives, les fêtards sont rassemblés et ponctuent la musique lourde et puissante en battant des mains, en tapant du pied, en bougeant les hanches. Le délire, le plaisir est en marche comme une éjaculation contenue depuis trop longtemps. L’éruption de joie ne saurait tarder. En haut les portes sont closes et bientôt la messe sera dite !


La suite plus tard ailleurs !

SombreLune
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