Cette couverture, sobre, simple, des gaulois haut en couleur dans un paysage naturel, croqué avec élgance. Un maquis et une vue superbe. Aprés les anglais, Goscinny parcours les clichés corses, entre fierté, orgueil, susceptibilité, sieste et fromage explosif. Une histoire anecdotique sublimée par les gueules corses sorties du talent d'Uderzo, sa représentation des peuples est toujours fascinante, entre les moustachus anglais, les bonhommes belges, les fiers hispaniques, les gueules corses se font plus dures, avec un regard plus sévère, de quoi donner la migraine à Obélix. Un bel album plein d'humour comme d'habitude malgré les quelques gimmicks déja vu. Mais toujours un plaisir de lecture.