Ce tome VF contient 2 tomes VO.


-
Tome 1 VO - Il vaut mieux être familier avec la trame générale de la phase BPRP Hell on Earth pour comprendre de quoi parlent les récits. De même, il vaut mieux disposer d'une connaissance préalable des personnages pour comprendre qui est qui. Il comprend les épisodes 1 à 5 de la minisérie (également numérotés 148 à 152), initialement parus en 2017, coécrits par Mike Mignola & Scott Allie, dessinés et encrés par Laurence Campbell, avec une mise en couleurs réalisée par Dave Stewart. Les couvertures ont été réalisées par Duncan Fegredo. Ce tome se termine avec des pages de dessins préparatoires et une histoire courte de 8 pages écrite par Mike Mignola, et dessinée par Tim Sale.


Le tome s'ouvre avec une page de texte, un extrait de rapport évoquant l'émergence d'un culte d'individus suivant une jeune femme, rapport émanant du directeur Thomas Manning. Dans la ville ravagée de Parkinson, dans l'état de la Caroline du Nord, Ted Howards, (Gall Dennar) armé de son épée bifide, se bat contre un Ogdru Hem qui lui en fait baver. À bord d'un navire volant, Andrew Devon et son équipe observe le déroulement du combat. Il est contacté par Liz Sherman qui vient d'arriver à leur proximité en volant de manière autonome. Dans la ville de Wallace, en Idaho, Ashley Strode est en train de réaliser un exorcisme sur une jeune homme alité. L'individu possédé parle de rejoindre une jeune fille afin de pouvoir descendre et fonder la ville de la nouvelle Pandémonium. Après avoir mené à bien l'exorcisme, Strode contacte la base pour rendre compte à Kate Corrigan.


À Parkinson, une troupe de 4 agents du BPRD en armure de combat a été déposée au sol pour aller à la recherche de Liz Sherman et Ted Howards. Ils arrivent devant une immense colonie d'œufs de monstres. Une patte perce la coque de l'un d'eux. Les agents répliquent en ouvrant le feu, mais sans effet sur la créature. Celui appelé Tian meurt le torse transpercé par la créature. Howards arrive sur ces entrefaites et décapite la créature avec son épée. Dans le Nebraska, un homme alité ressent l'appel de la fillette à la rejoindre. Dans le Colorado, Fenix Espejo, Eris et leur chien Bruiser découvre une tour en ruine. À Syracuse, dans l'état de New York, Herman von Klempt (à l'état de tête dans un bocal) et son compagnon Karl Ruprecht Kroenen sont abordés par Varvara.


Bien aidé par ses coscénaristes Scott Allie, John Arcudi et Chris Roberson, Mike Mignola avait mené à bien la longue période de l'Enfer sur Terre, une forme d'apocalypse ayant ravagé la Terre, sous la forme de plusieurs Ogdru Hem et autres monstres se manifestant sur Terre et s'en prenant à l'humanité et à ses réalisations. Pendant ce temps-là, Hellboy descendait en enfer jusqu'à la cité de Pandémonium. Le lecteur doit disposer d'une idée assez précise des événements survenus précédemment, ainsi que des personnages déjà apparus. Sans quoi, du fait de leur nombre il est rapidement submergé par une sensation de se retrouver au milieu d'une histoire où tout le monde se connaît et évoque des événements passés qui ne lui disent rien. Lorsqu'Abe Sapien regagne le BPRD, Liz Sherman se fait fort de le mettre à jour des bouleversements survenus durant son absence, mais elle fait référence à une personne juste le temps d'une phrase, avant de passer à la suivante, évoquée de manière tout aussi brève. S'il n'a jamais rencontré les principaux personnages, le lecteur n'a aucune chance de comprendre ce qui se trame et ce qui se joue.


Abe Sapien fait allusion à ses pérégrinations dans sa propre série, dont le dernier tome comprenait de nombreuses révélations. Il évoque aussi sa première identité Langdon Everett Caul, en parlant à Liz Sherman, sans s'étendre dessus car elle sait de quoi il parle. L'épée de Ted Howards et sa capacité à parler une langue gutturale avec Maggie, une fillette de 10 ans, n'ont de sens que si le lecteur sait ce qu'est l'énergie Vril. De même si le lecteur découvre le BPRD avec ce thème, il sera bien en peine de donner du sens à la tête d'Herman von Klemp flottant dans un bocal porté par Karl Ruprecht Kroenen dans sa tenue moulante en cuir. Quant à la fillette revêtue d'une robe blanche avec des anglaises dans le cou, seuls les lecteurs familiers de Varvara comprendront ce qu'elle peut avoir de menaçant.


Après le dernier épisode de la série Abe Sapien, le lecteur n'avait pas vraiment d'assurance que Mike Mignola donnerait une suite à la branche principale de son univers partagé, la ligne temporelle du BPRD. Il restait encore des mystères et une incertitude quant à l'avenir, mais le créateur avait déclaré vouloir se consacrer à d'autres activités. Le lecteur voit donc arriver avec plaisir cette série lui permettant de renouer avec des personnages qu'il a suivi pendant des années, et une riche mythologie très étoffée. Pour ce premier tome, les coscénaristes doivent faire face à la nécessité de relancer la machine, de vaincre l'inertie consubstantielle à une distribution aussi pléthorique de personnages. En consultant les bonus en fin de volume, il découvre une carte du monde recensant les sites sur lesquels il subsiste des créatures surnaturelles ou extraterrestres en activité, ce qui lui permet de mesurer l'ampleur des dégâts, et de ce qu'il y a à reconstruire. Au fil des discussions des personnages, le lecteur chevronné se remémore la liste des agents morts au combat, ainsi que la nature de la victoire à l'issue de la précédente série c’est-à-dire la neutralisation de l'Ogdru Jahad présente sur Terre. Les auteurs alternent donc entre des missions et des discussions des membres du BPRD afin de ramener Liz Sherman et sa maîtrise de ses pouvoirs, Abe Sapien, Andrew Devon et Ted Howards. Ils arrivent à caser le professeur James Henry O'Donnell. Par contre plusieurs autres personnages n'ont droit au mieux qu'à une page ou deux (Fenix & Eris), au pire à une mention en passant dans un dialogue (le directeur Tom Manning).


Mignola & Allie doivent également établir la continuité avec la série précédente, à la fois en rappelant la nature de la victoire, en montrant les monstres encore présents sur la surface de la Terre, et en évoquant différents fils de la mythologie interne de la série, aussi disparates que la cité Pandémonium, l'énergie Vril, le club Osiris, ou encore le culte de la Main Droite (peinte en rouge sur le front de ses prêtres). Du fait de ces contraintes, la lecture peut sembler à la fois papillonner, et à la fois très dense. Pour cette reprise de la série, le lecteur retrouve le coloriste Dave Stewart, toujours aussi discret dans sa façon de choisir sa palette ou de réaliser des camaïeux, et toujours aussi épatant pour habiller les contours encrés, les nourrir, les rendre vivants. Laurence Campbell avait déjà illustré plusieurs épisodes de la précédente série, dont ceux du dernier tome. Il continue de réaliser des dessins descriptifs présentant une apparence plus ou moins sinistre. Il confère cette particularité avec des aplats de noir plus copieux que ne le justifieraient les ombres portées, et aux contours parfois irréguliers et effilés, développant une sensation de dangerosité.


Cet artiste dose avec habileté le degré de précision des dessins, pouvant pousser loin les détails pour des éléments très banals comme l'aménagement d'une chambre, et pouvant également se montrer plus évasif, avec des formes moins précises pour les monstres, comme s'ils défiaient l'entendement humains, comme s'ils ne pouvaient pas être bien perçus uniquement par des sens humains. Le lecteur voit donc évoluer des personnages marqués par la noirceur, souillés par la destruction et la souffrance. Par contraste, il semble émaner de Varvara une forme de pureté, du fait de sa robe blanche et de sa morphologie de fillette. Campbell a l'art et la manière de suggérer des villes dévastées et en ruine, ainsi que des corps éventrés lors des combats. Le lecteur ressent un désespoir à se promener dans les décombres comme s'il ne sera jamais possible pour l'humanité de retrouver un tel niveau de civilisation. Il ressent également l'impact des chairs déchirées par les membres acérés des monstres.


Le tome se termine par une histoire courte (8 pages) mettant en scène Ted Howards et son épée, face à un individu évoquant les chamans capables de manipuler l'énergie Vril. L'histoire se déroule dans une vaste plaine dénudée. À nouveau, Dave Stewart fait des miracles avec les couleurs pour transcrire l'impression de la nuit et de la solitude dans cet endroit désolé. Tim Sale réalise des dessins dans un registre plus expressionniste que ceux de Laurence Campbell. L'exagération des visages a tendance à produire l'effet contraire à celui escompté, à savoir un effet comique du fait des visages grimaçants, plutôt qu'un effet sinistre. L'histoire reste au niveau anecdotique, sans réussir à transporter le lecteur.


Indubitablement, s'il a lu la série précédente du BPRD et accompagné les personnages pendant toutes ses années, le lecteur est ravi de pouvoir les retrouver dans de nouvelles aventures, fussent-elles sinistres, toujours menées de main de maître par Mike Mignola. Il lui faut un peu d'investissement personnel pour se remémorer tout l'historique qu'évoquent les personnages, ainsi que les éléments mythologiques associés. Laurence Campbell réalise des planches transcrivant bien l'ambiance de cette fin du monde pas tout à fait terminée, avec un degré de description satisfaisant car suffisant pour donner corps aux personnages et aux événements. Il lui tarde de découvrir la suite, et en particulier les actions de Varvara. Le lecteur espérant un point d'accès facile à la série en sera pour ses frais, noyés sous une avalanche de références absconses. 5 étoiles pour le lecteur chevronné.


-
Tome 2 VO : épisodes 6 à 10, initialement parus en 2018, écrits par Mike Mignola & Scott Allie, dessinés et encrés par Sebastián Fiumara pour les épisodes 6 à 8, et par Laurence Campbell pour les épisodes 9 et 10, avec une mise en couleurs réalisées par Dave Stewart. Mike Mignola a dessiné les 3 premières pages de l'épisode 6. Cette partie se termine par 18 pages d'études graphiques, dont 3 consacrées aux crayonnés de Mike Mignola.


Quelque part en Enfer, dans une maison non loin de la grève d'un petit port de pêche, Heboy reçoit la visite d'Ed. Il accompagné par Roger, l'homuncule. Ed indique à Hellboy qu'il reste 2 choses à faire, et qu'il a tenté de faire la première à sa place pour l'aider. Sur Terre, à bord de l'aéronef du BPRD, quelque part au-dessus du Nebraska, Hellboy est assis sur un fauteuil à roulette, en train de regarder ses amis discuter, sans se concentrer sur ce qu'ils disent : Liz Sherman, Ashley Strode, Andrew Devon, Carla Giarocco, Fenix Espejo. Liz Sherman finit par s'approcher de Hellboy et lui demander si ça va ; il répond avec un oui laconique. Andrew Devon décide d'envoyer un petit groupe interroger des membres d'un culte campant sur une autoroute, entendant une voix de fillette dans leur esprit. Pendant ce temps-là, dans le comté de Jasper en Caroline du Sud, Abe Sapien et Ted Howards observent un campement d'individus vivant dans le dénuement. Maggie fait signe à Abe de la suivre ; il obtempère.


À bord du vaisseau du BPRD qui se trouve maintenant au-dessus du Dakota du Sud, Liz raconte à Hellboy ce qui s'est passé depuis sa mort. En réponse à une de ses questions, elle indique que Kate Corrigan est morte. Elle lui demande ce qui lui est arrivé à lui ; il répond qu'il n'en est pas sûr. À New York, Sam, son épouse et sa fille arrivent pour se joindre au culte animé par la petite fille. Ils ne sont guère rassurés par la présence d'individus à la peau marquée. Au centre du bâtiment, Varvara discute de sa stratégie avec Herman von Klempt et Karl Ruprecht Kroenen. Hellboy a décliné la demande d'Andrew Devon d'accompagner les agents qui vont établir le contact avec le campement des membres du culte. Il entend son nom appelé par le système de communication. Il se rend sur le pont où la communication a été établie avec Tom Manning, l'ancien directeur du BRPD. Hellboy salue son vieil ami allongé dans son lit d'hôpital. Maggie a amené Abe Sapien devant l'entrée d'une caverne pour qu'il sache où elle se trouve. Le groupe du BPRD a touché terre et découvre un spectacle qui n'est pas du tout celui auquel ils s'étaient préparés.


Le précédent tome s'achevait sur un coup de théâtre à peine croyable ramenant une forme d'espoir inattendu. En effet, il avait auparavant montré un monde dans un état de destruction bien plus effroyable que ce que la fin de la phase Hell on Earth pouvait laisser supposer, avec une humanité prête à se raccrocher à des croyances pour pouvoir espérer en un avenir meilleur. Au fil des pages le lecteur continue de relever les signes inquiétants et sinistres. Pour commencer, le titre de cette deuxième partie de The devil you know est Pandemonium, c’est-à-dire le nom de la cité faisant office de capitale aux enfers, celle où Hellboy a tué son père. Or le récit se déroule sur Terre, ce qui incite le lecteur à s'interroger sur l'éventualité d'une résurgence de Pandemonium sur Terre, ou de l'instauration d'une nouvelle capitale des enfers. Tout aussi angoissant est la persistance de la présence de monstres apparus pendant la phase Enfer sur Terre, l'apparition de nouvelles maladies inconnues propageant la pestilence, ou encore l'arrivée de créatures démoniaques présageant d'une nouvelle vague de catastrophes. Mike Mignola et Scott Allie ont construit leur récit de manière à ce que le lecteur se heurte régulièrement à de nouvelles manifestations létales, remettant en cause l'espoir apparu à la fin du tome précédent. Il mine également cet espoir par l'attitude de Hellboy qui ne fait aucun effort de communication avec les autres, qui semble replié sur lui-même, attendant le moment qu'il juge opportun pour passer à l'action, comme si toute autre forme d'intervention n'a aucune importance.


Les dessins de Sebastián Fiumara et Laurence Campbell participent également à instaurer cette ambiance sombre et désespérée. À de rares exceptions près, les visages dessinés par Fiumara sont marqués de traces noires, de petites hachures, comme s'ils portaient les stigmates de leur souffrance intérieure, comme si le temps avait déposé des marques d'usure. Ces visages expriment souvent le regret, l'inquiétude, l'agressivité, presqu'à aucun moment une émotion positive, au mieux de la neutralité indéchiffrable. Campbell utilise des traits un peu plus durs et un peu plus épais pour les visages qui apparaissent alors creusés et fatigués, marqués par des expressions dures et résolues. Durant les 3 premiers épisodes, les personnages sont souvent représentés debout, les bras le long du corps, dans une forme d'attente ou d'inaction, comme s'ils n'avaient pas de possibilité de se mettre à l'œuvre, d'agir pour améliorer la situation, pour construire quelque chose. Dans les 2 derniers épisodes, l'action occupe la majeure partie des pages, les membres du BPRD se jetant à corps perdu dans la bataille, avec l'énergie du désespoir. À bien y regarder, Fiumara et Campbell utilisent une direction d'acteur exhalant un parfum de résignation ou de désespoir sous-jacent, inexorable.


De la même manière la mise en couleurs de Dave Stewart utilise des couleurs sombres et ternes pour renforcer l'ambiance de fin du monde, pour ajouter à la fibre sinistre, et participer à la sensation de destin funeste. S'il y fait attention, le lecteur se rend compte qu'à certains moments, Stewart ajoute une touche de couleur très inattendue : une touche de violet lilas pour la manifestation des démons, un vert pale pour le bocal de von Klempt. Les 3 pages réalisées par Mike Mignola sont parcourues par des feuilles mortes en train de tomber, comme la fin d'une époque. Les cases sont à la fois dépouillées avec des formes mangées par le noir, et à la fois très évocatrices. Durant les épisodes 6 à 8, Sebastián Fiumara réussit de très belles mises en scène : la vision de l'aéronef massif du BPRD, le corps au repos de Hellboy résigné, la forme saugrenue d'une vierge de fer au milieu de nulle part, le minois toujours aussi mignon de Varvara, et une magnifique case avec une légère contreplongée, montrant le trio réuni de Liz Sherman, Abe Sapien et Hellboy, baignant dans la nostalgie d'une autre époque. Dans les 2 épisodes suivants, Laurence Campbell réalise plusieurs visions apocalyptiques : une nuée de petits démons ailés, les gratte-ciels en ruine de New York se découpant sur un ciel enflammé, une horde de créatures immondes se ruant sur les agents du BPRD. Les 2 dessinateurs ont tendance à s'affranchir de représenter les arrière-plans le temps de 2 à 4 planches par épisode, parfois compensé par la mise en couleurs, parfois donnant une impression de vide.


Ainsi mis en condition par la narration visuelle des 2 artistes, le lecteur intègre le fait que l'histoire est placée sous le signe d'une forme d'inéluctabilité, les personnages ne sachant pas toujours quelle action entreprendre, où se rendre, contre qui se battre, et une fois sur le terrain assaillis par des créatures monstrueuses semblant sans cesse renouvelées. Qui plus est, Hellboy semble résigné, comme s'il ne servait à rien de se battre pour le moment. Le lecteur éprouve une sorte de sentiment contradictoire : entre désintérêt de ces scènes ne lui en apprenant pas beaucoup, et prise de conscience de ce qui est en train de se jouer. En surface, Mignola & Allie ne semblent pas en dire beaucoup avec leur histoire : Varvara continue de mettre en œuvre ses manigances, Abe Sapien s'apprête à rejoindre le BPRD, Andrew Devon n'a pas d'assurance quant à l'utilité des actions qu'il décide. Mais il se produit un effet cumulatif des différentes scènes qui accable toujours plus le lecteur. En outre, Mike Mignola a indiqué qu'il s'agit de la dernière histoire du BPRD, et qu'elle doit se terminer avec l'épisode 15. En assemblant progressivement les pièces du puzzle contenues dans ce tome, le lecteur sent sa tension augmenter.


Pour pouvoir apprécier cette deuxième partie, le lecteur doit disposer d'une connaissance étendue de l'univers partagé Hellboy, avec une bonne compréhension de l'historique de l'évolution des créatures monstrueuses sur la Terre. Il plonge alors dans un récit qui fait sens, avec une narration graphique sinistre du fait de l'ambiance qu'elle installe, des personnages accablés par des années de lutte, et des monstres évoluant dans une civilisation en ruine. Il regarde le récit s'acheminer inéluctablement vers un conflit final qui s'annonce terrible pour les survivants du BPRD. À l'évidence s'il a commencé son immersion dans cet univers partagé avec le premier épisode de Hellboy, ou par celui du BPRD, le lecteur sait qu'il ira jusqu'au bout, et quel que soit son niveau d'appréhension pour la fin de la série, il regrette déjà qu'elle se termine.

Presence
10
Écrit par

Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur.

Créée

le 8 févr. 2020

Critique lue 114 fois

Presence

Écrit par

Critique lue 114 fois

D'autres avis sur B.P.R.D. : Un mal bien connu, tome 1

B.P.R.D. : Un mal bien connu, tome 1
Presence
10

La fin du monde n'est pas terminée.

Ce tome VF contient 2 tomes VO. - Tome 1 VO - Il vaut mieux être familier avec la trame générale de la phase BPRP Hell on Earth pour comprendre de quoi parlent les récits. De même, il vaut mieux...

le 8 févr. 2020

Du même critique

La Nuit
Presence
9

Viscéral, expérience de lecture totale

Il s'agit d'une histoire complète en 1 tome, initialement publiée en 1976, après une sérialisation dans le mensuel Rock & Folk. Elle a été entièrement réalisée par Philippe Druillet, scénario,...

le 9 févr. 2019

10 j'aime