Moins polar et plus personnel que le premier tome.

Dragon et Peeters sont toujours aux commandes de deuxième tome tout aussi superbement maîtrisé que le premier.

L'équilibre entre investigation/enquête et vie personnelle du permier tome se déplace clairement en faveur de la vie privée du personnage principal dans ce tome, ce qui prend tout son sens lorsqu'on précise que ce Bangkok - Belleville traite de l'exploitation de la misère humaine par des passeurs peu scrupuleux : l'accent est donc bel est bien mis sur l'humain.

Reprenant les grandes qualités narratives de son grand frère, ce deuxième tome confirme tout l'intérêt que les amateurs de polars réalistes se dovient de porter à la série. Espérons qu'elle ne s'arrête pas en si bon chemin.
Ouaicestpasfaux
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le 28 mars 2013

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