Martin Veyron sort de sa zone de confort, les relations humaines, pour nous emmener dans une critique de la maladie du siècle, le final vient nous surprendre comme un uppercut au menton. Je voudrai ne pas l'avoir lu pour mieux la relire.
Créée
le 4 juil. 2021
Critique lue 16 fois
D'autres avis sur Ce qu'il faut de terre à l'homme
Ça commence comme une histoire qui va, on l'imagine très bien, se terminer mal. Des fermiers russes, assez prompts à s'emporter, des histoires de sous et de terres, de ressources nécessaires pour se...
Par
le 19 juil. 2016
2 j'aime
L'histoire d'un paysan simple qui pique chez son riche voisins comme ses copains et qui du coup vit bien, jusqu'au jour ou un nouvel intendant arrive. Pris en flagrant délit, de piquer chez les...
Par
le 25 févr. 2016
2 j'aime
(critique faite pour la constitution d'un dossier de master : parmi un choix de titres, il fallait faire une critique et dire quelles raisons on l'éditerait ou non) Ce qu'il faut de terre à l'homme...
le 15 mai 2017
1 j'aime
