Comme convenu, tome 1
6.6
Comme convenu, tome 1

BD franco-belge de Laurel (2016)

Comme convenu, tome 1 par Renaud Vandepoele

On suit la vie d'un jeune couple passionné par le jeu vidéo : lui, développeur, elle, graphiste. Avec quelques personnes, ils ont eu l'opportunité de créer une start-up en Californie. Dés le début, on sent malheureusement que leurs associés sont foireux, véreux et crapoteux! Part de la boite minime, paye ridicule, condition de vie médiocre, magouilles, etc... Une oeuvre où l'on ne peut s'empêcher d'être empathique et/ou en colère face aux injustices qu'ils subissent. La suite de l'histoire est gratuite et disponible sur le blog de Laurel. Petit plus pour la "cosiness" du dessin.

Fugelas
6
Écrit par

Créée

le 9 mai 2017

Critique lue 472 fois

Critique lue 472 fois

D'autres avis sur Comme convenu, tome 1

Comme convenu, tome 1

Comme convenu, tome 1

le 30 avr. 2018

Déconvenues

Un témoignage intéressant et bien narré ainsi que très bien mis en image. Il y a quelques redondances mais dans l'ensemble, on se laisse porter par le récit et par l'aventure que traverse la petite...

Comme convenu, tome 1

Comme convenu, tome 1

le 9 mai 2017

Critique de Comme convenu, tome 1 par Renaud Vandepoele

On suit la vie d'un jeune couple passionné par le jeu vidéo : lui, développeur, elle, graphiste. Avec quelques personnes, ils ont eu l'opportunité de créer une start-up en Californie. Dés le début,...

Du même critique

Nioh

Nioh

le 13 mars 2018

Nioh

Je ne vais pas faire la fine bouche, Nioh m'a occupé plusieurs dizaines d'heures. Alors oui, effectivement, après tout ce temps, je trouve que le bestiaire est peu étoffé, rendant le jeu répétitif...

Machinarium

Machinarium

le 25 déc. 2010

La tôle n'a jamais été aussi vivante!

Voilà bien 6 mois que le développeur Amanita Design a créé Machinarium. Le temps passant à la vitesse Superman au carré, ce n'est que cette semaine que j'ai pu y jouer. Et j'en ressors enchanté. Un...

Juste la fin du monde

Juste la fin du monde

le 21 sept. 2017

Juste la fin du monde

Encore un Dolan qui fait mouche (Mommy en tête de liste) en nous plongeant dans son domaine de prédilection, j’ai nommé : la famille. Un film tenu avec maestria par des acteurs cohérents dans leur...