Dans cette suite au premier volet, Nicolas se retrouve une fois de plus à Kaboul, où peu a changé, mais les rebondissements sont toujours aussi fous. Le décalage entre le monde réel qui nous attend au pays et les expériences sur le terrain est amplifié, et c'est pour cela qu'on aime Kaboul Disco !

Pour avoir connu le contexte où est situé la BD, j'ai tout de suite reconnu l'ambiance, même reconnu certains personnages ! La vie d'expatrié humanitaire, tiraillé entre sa conscience et son envie pressante de faire la fête et de retrouver un peu de chez soi... à des milliers de kilomètres ; tout cela transparaît dans cette BD sobrement mais efficacement dessinée, qui n'est pas sans rappeler le style de Satrapi.
paulcduke
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le 4 janv. 2011

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