une note de 5 à regret parce que l’ambiance de l’univers est très bonne et qu’elle a probablement été l’introduction du cyberpunk au Japon. il manque un scénariste à l’ensemble tant pour le récit de chaque histoire que pour la caractérisation des personnages et la montée en puissance du manga. le major kusanagi est particulièrement creux alors qu’elle est l’héroïne du bouquin.
le tome 1.5 focalisé sur des petites enquêtes de la section 9 est bien plus sympa. il se situe dans l’intervalle de 4 ans qui sépare le 1 et le 2.
le tome 2 centré sur kusanagi et sans la section 9 est un naufrage, malheureusement. et il a le mauvais goût d’insérer de l’image de synthèse un peu partout pour faire « cyber »... et comme toujours la vieille 3d vieillit très très vite...
tout cela donne envie de recommander l’excellent comics « transmetropolitan », plus récent et bien plus habile à traiter les problèmes contemporains par le prisme « cyber ».