le 30 mai 2016
Un escalier de Penrose... en film !
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Après le plan mis en place par Bruno Gabin, Hawkwood se retrouve dans une situation bien délicate. En fâcheuse posture, nous suivons donc dans ce tome, notre héros cherchant à sortir de ce mauvais pas.
Même si ça me peine de le dire, ce tome 4 est un peu lassant. On commence malheureusement à y entrevoir de la redondance et un manque de dynamisme. Sans être foncièrement mauvais, ce tome peine à nous faire ressentir les enjeux qu’il met en place. On ne s’inquiète jamais vraiment pour notre héros, et pour ainsi dire, lui non plus n’en a pas l’air. Ce volume ne contient que très peu/ pas de développement sur le plan des personnages ce qui, évidemment, ne nous aide pas à nous sentir impliqué. Combiné au dessin assez moyen et sans personnalité (et qui fluctue d’un tome à l’autre), l’ennui vient pointer le bout de son nez. Même l’aspect tactique qui était très intéressant dans les premiers tomes perd un peu de son intérêt, bien qu’encore sympathique. Mais tout n’est pas mauvais pour autant : L’aspect historique et l’univers décrit restent assez prenants. Au final, la lecture du tome reste agréable même si un peu lassante.
Si l’auteur continue dans sa lancée, le manga risque petit à petit de s’inscrire dans ce que j’appelle les mangas de « bus ». C’est-à-dire un manga sympathique à lire dans les transports en commun, pour passer le temps. Ni mauvais, ni bon, ce tome 4 se lit tranquillement quand on a rien d’autre à faire.
Créée
le 8 nov. 2016
Critique lue 51 fois
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