Sans pour autant avancer des masses dans l'intrigue, ce tome nous fait descendre un étage en dessous dans le glauque et l'horreur. Le basculement dans la marginalité et la folie qui assaille de plus en plus Polza sont incroyablement mis en images, les planches sont sublimes.
Dommage que l'histoire n'avance pas beaucoup et qu'on se retrouve à tourner autour des obsessions de Polza pendant les trois quarts du roman... jusqu'à l'accélération finale qui te retourne l'estomac sans préavis. Tellement pas envie de me mettre à haïr Polza...