
Il n'y a plus d'or à Kaamelott. Les chevaliers de la table ronde décide donc de partir à la mine pour essaye de découvrir pourquoi les convois n'arrivent plus jusqu'au château.
Je suis content de revoir de l'heroic fantasy dans les pages de la bande dessiné. On traite quelques chose qu'on a pas pu traiter dans la série Kaamelott. C'est nouveau et on fait la rencontre d'un Orque en fauteuil roulant et d'une créature sous marine.
D'ailleurs l'Orque et la créature sont très bien dessiné par Steven Dupré. Mais que dire des chevaliers de la table ronde ? C'est de pire en pire. Caradoc est devenu méconnaissable, limite monstrueux. Va falloir faire quelque chose, un peu plus d'implication peut être.
L'histoire d'Alexander Astier était intéressante sur le début et tombe très vite à plat. Pas surprenant, pas très drôle, et elle nous invite pas aussi bien à l'aventure qu'on pourrait le croire. C'est dommage.
Comme dans le tome précédent, Perceval et Caradoc sont les vrais héros du tome et la conclusion viendra encore d'eux, grâce à leur bêtise.
Les dialogues très fidèle aux personnages sauve la lecture.
Le troisième tome n'est guère mieux que les deux premiers. C'est creux, pas très marrant et malgré ce qu'on peut penser ça n'offre quasiment rien de plus que la série. La présence de l'heroic fantasy ne sauve pas l'histoire et le dessin très moyen.