L'inspiration de ce deuxième album des compères Goscinny Uderzo s'éloigne du front de mer et du village irréductible, fricote avec la capitale et ses trafics, ses tavernes sombres, trustées par une faune colorée et mafieuse. Petite vignette sur la N7 pour les nostalgiques (notamment les papous!). Y'a autant de pugilat (en boucle avec les romains et les barbares de la forêt), autant de drogue (la potion magique) que dans le premier,
les trafiquants copinent avec la préfectorale abrutie et dégénérée en toute logique (rien ne change)... mais ne se droguent pas (à l'inverse de nos héros faillibles...).
Enfin reconnaitre quand même qu'à part la potion magique, ils ne tombent pas dans la vinasse... donc savent quand même se tenir!
L'on bâillonne le poète au début et à la fin...
Et la même indigence du côté des figures féminines...