A un tome de la fin, Holmes s'annonce comme une saga majeure de la bd grâce au frère ainé.
Une histoire ici travaillée chirurgicalement, sans jamais trahir l'esprit Sherlock, un dessin ambiancé gris ou sépia divin de détail et de justesse et délivrant son habituel rebondissement final culotté pour fêter le 5ème chapitre.
Tout semble se mettre en place pour une conclusion que l'on ne peut attendre qu’impatiemment.
Une nouvelle oeuvre qui illustre combien ce personnage tant de fois abordé peut encore se réinventer, le propre d'une grande création.