Les origines de Sand Saref sont là pour sauver ce tome

Les histoires dans ce tome se suivent, mais les personnages n'évoluent pas plus que ça. L'ambiance est plutôt bonne enfant voire même un peu raciste avec Ebonite (Will Eisner avouera plus tard que ce personnage est raciste et cherchera à s'ne repentir par la suite).
Le seul éclair dans le scénario reste l'introduction et l'origine de Sand Saref avec cet amour impossible entre elle et le Spirit qui donne du relief à cette œuvre.
Pour le dessin Will Eisner fait tout un étalage de son talent avec un style varié et plus travaillé à la fin de même qu'avec le scénario.
Cabot3
7
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le 15 mars 2015

Critique lue 185 fois

Cabot3

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