Série découverte un peu par hasard sur le stand d’Urban Comics à la Foire du Livre de Bruxelles, j’avais trouvé le pitch assez intéressant et je trouvais que ça changeait un peu de ceux que j’avais l’habitude de lire pour le moment (vous savez les Batman, Harley Quinn, Superman, Deadpool et autres fleurons de DC et Marvel).
La première chose qui m’a frappée c’est la ressemble graphique entre Preacher et le premier album de Hellblazer que j’avais (très difficilement) lu il y a quelque temps, mais c’est un signe de l’époque à laquelle ils ont été créés et autre point commun entre les deux c’est Garth Ennis qui est au scénario, mais, contrairement à l’impression que Hellblazer m’avait laissé, Preacher propose un scénario intriguant et plein de retournements de situations (Ouf ils s’en sortent ! Ah ben en fait oui, mais c’est pour tomber dans pire :/).
Donc comme je le disais, le scénario proposé par Ennis est génial, mais au plus vous avancez dans l’histoire, au plus vous avez l’impression que Garth est un grand malade dans sa tête ! Parce que oui, il faut l’être un minimum quand on voit toutes les merdes qu’il a pu inventer pour faire passer un mauvais quart d’heure à Jesse, Tulip et Cassidy !
Pour les dessins, je ne suis clairement pas fan des dessins des années 80/90/débuts 2000, mais ici ils passent très dans le cadre de l’histoire et font ressortir l’univers détraqué dans lequel nos héros évoluent.
Ce premier tome de Preacher annonce une série qui a l’air intéressante et captivante et dont j’ai vraiment adoré le premier, mais n’est clairement pas à mettre dans les mains de jeunes adolescents vu certains passages violents.
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