Radiant, tome 9 par Sunread26

Chronique complète :

Extrait :

Voilà le dernier tome de ma relecture ! Il faut dire que l’histoire devient tout aussi poignante que sur la fin de l’arc précédent ! Difficile de savoir qui va sortir vainqueur de cette guerre, et surtout qu’elles en seront les conséquences sur le royaume de Cyfandir et de ses habitants. Les thaumaturges sont surpuissants et ils révèlent également leur vrai visage : celui de psychopathes. Avec ce tome, j’en suis également à la moitié de la publication qui est déjà au tome 18 de mémoire, je pense donc continuer ma lecture jusqu’à celui-ci, toujours à raison d’un tome par semaine !

Très franchement, je ne sais pas vous, mais à titre personnel j’aurais vachement si une géante, comme la reine de Cyfandir, venait à me foncer dessus. Sans compter le fait que la terre tremblera sous ses pas, ou encore le bruit que cela occasionne ! Dans le manga, ses deux éléments ne semblent pas évoqués, mais je suppose que c’est le cas dans l’anime où c’est déjà plus facile à montrer. D’ailleurs cette réflexion m’a fait réagir sur le fait qu’il y a assez peu d’onomatopée dans la série (mot pour désigner un bruit), là où, dans les mangas japonais, il y a tendance à en avoir énormément. Ça ne me gêne pas, bien au contraire, s’il y en avait trop, on ne verrait presque plus les dessins, surtout qu’ils ne sont pas toujours utiles, puisqu’on connait le bruit d’une explosion. En tout cas, la reine donne littéralement de sa personne afin de combattre l’ennemi, preuve qu’elle a toujours été sincère sur le fait de protéger son peuple (et surtout, que les thaumaturges mentent ouvertement, sur la condition présumée des personnes non sorciers du royaume).

Les combats sont sanglants, la reine finit par sombrer, malgré sa taille imposante, elle n’est pas assez forte pour tous les affronter. Elle réussit toutefois un coup de maître, en détruisant la machine annulant le Fantasia. Malheureusement, il n’y en avait pas qu’une… Ce n’est plus seulement les combattants qui se retrouvent désormais en dangers, mais aussi toute la faune et la flore de la région, qui ne vivent que grâce au Fantasia… Les thaumaturges et les marchands ne le savent pas encore, mais ils ont déclenchés une rage peu commune, mais destructrice. Pour Ocoho, apprendre la trahison de plusieurs de ses proches est un coup dur, d’autant plus que sur les trois, un seul était vraiment un traître (semble-t-il). Elle finit par se libérer et confronte alors son ami, après avoir appris que son infection l’empêchait de ressentir des émotions, elle utilise son Gysoni sur lui. Il ne pouvait pas subir pire torture, lui qui n’avait jamais rien ressenti se retrouve envahi d’émotions… Il supplie Ocoho d’arrêter, j’adore ce qu’elle lui répond : « Ne te lamente pas. Quand je relâcherai mon Gysoni, tu n’auras plus à vivre avec… moi oui ». Coup du sort, il lui aura fallu cette expérience pour comprendre ce qu’il a fait…

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