Pourquoi écrire ce que l'on peut dessiner.

La vie, la mort, l'amour... le quotidien d'un banc, de ses scènes journalières qui se répètent. Racontant une histoire, sans réel début ni fin, simple reflet de notre société.
De la poésie sans parole, un dessin noir et blanc, simple, beau et puissant.
Trois cents et quelques page qui se lisent d'une traite mais qui nous laissent un fort goût de reviens y.
Personnellement je trouve que le concept est bon et bien exploité. L'aspect répétitif de prime abord (car il n'en est rien) renforce d'autant plus le propos. Ce quotidien qui se répète inlassablement.

Ennoia
8
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le 8 oct. 2019

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Ennoia

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