Découvrir la vraie Yûna (ou pas).

La fin du précédent tome nous promettait (enfin?) des infos intéressantes sur l'héroïne principale et le contrat est presque tenu. Les deux grosses révélations posent finalement plus de questions que de réponses mais ça, fallait s'y attendre. Pour le reste, le contenu est fidèle à ce que la série nous a habitué: des infos intéressantes sur le folklore et les coutumes jap' (Saviez-vous que Noël se fête là-bas entre amis plutôt qu'en famille?) et l'humour/romance/ecchi décapant. On dira même que Tadahiro Miura se montre très excessif dans ce 8e tome, sur l'exhibition physique de son harem. Le chapitre sur Noël et surtout celui de la baston dans les bains de la pension sont osés. Les filles vont connaitre une sérieuse déculottée (à prendre au sens littéral du terme) avec l'arrivée en fanfare de la Princesse Karura Hiôgi, dont sa puissance ne reculera devant aucune humiliation.
Outre Yûna, on en sait aussi un peu plus (décidément) sur les origines mystiques de Kogarashi, fidèle à son rôle de mâle alpha. Un contenu riche et appréciable dans ce tome qui permet une mise à nu (à prendre au sens que vous voulez) du couple principal.