le 12 nov. 2024
Critique de "Berserk, tome 21"
Un tome centré sur l'action et ce combat Guts-Mozguz. L'arc se termine enfin et il n'aura pas été passionnant tant les multiples énonciations religieuses finissent par lasser et tant Mozguz ne semble...
Le Tome 21 achève l'arc de la Tour de conviction mais aussi il me semble l'air des châtiments.
Divisé en deux parties la première est plutôt moyenne puisqu'il s'agit du duel entre Mozgus et Guts qui ressemble énormément à un combat de Shonen cependant rattrapé par le caractère prophétique de l'antagoniste mais aussi la double énonciation qui est perçue des fidèles aux pieds de l'arène.
Il ne s'agit que d'une survie intense comme on a déjà pu l'observer dans les tomes précédents.
CEPENDANT la deuxième moitié du manga présente l'apparition du seul et de l'unique véritable prophète capable de changer le monde, apparu dans l’apocalypse qu'il a lui même causé, profitant de la fin de cette dernière pour apparaître aux yeux de tous comme le héros mythique tant attendu en ces temps troublés: Griffith.
Femto est ENFIN de retour, sa puissance et son arrivée son d'ailleurs d'une telle beauté et d'une telle puissance que nul ne peut rivaliser avec l'intensité de cette scène, de plus les ennemis potentiels du faucon se retrouve déchiquetés devant la force incommensurable de Zodd lui servant de sous fifre.
Les pages muettes illuminent le caractère sacré du personnage parfait et la suprématie de son règne à venir. La prophétie du chevalier squelette se réalise donc dans une tornade de morts et de souffrance qui est égayée par l'ouvertur de l’apôtre Béhélit.
Tout dans le retour de Griffith est parfait, il apparait comme le début du changement, la fin de développement de chacun des personnages qui changent leurs motivations finissent leur prise de conscience par son arrivée.
Farneze devient une déserteuse
Guts fait preuve de tendresse
Luka devient une femme fidèle
Nina devient une femme autonome et vertueuse
Les kushan envahisseurs sont balayés d'un revers de la main
Il est clair que nul ne peut douter de la grandeur du passage qui se joue dans l'oeuvre.
Créée
le 23 janv. 2020
Critique lue 503 fois
le 12 nov. 2024
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