le 23 sept. 2019
Critique N°177 : Sleeping Dogs
Au sommet de sa puissance, la Triade indonésienne contrôle 80% des activités de contrebande en Asie du Sud Est. Au sommet depuis des années, les dirigeants de la Triade ont créé une petite formation...
Le tome deux de Brian Azzarello présente Hellblazer commence avec le passé de Constantine, une époque où le paranormal n’avait pas lieu d’être dans sa vie. Mais contrairement au tome précédent où la magie était tout bonnement absente, ici on aura le droit dès le premier chapitre à ce que j’attends dans du Hellblazer.
C’est Guy Davis qui ouvre le bal avec une le passé de John ; histoire plus ou moins intéressante mais on reste sur notre faim avec une présence de paranormal existant mais très secondaire.
La seconde partie de Brian Azzarello présente Hellblazer reprend Frusin au dessin et pour la trame principale, direction les neo-nazis.
Si le tome 2 fait un lien direct avec le premier, cela servira plus de fil rouge que de vrai synopsis. Mais nous aurons au moins droit à du paranormal, avec les visions de John et même une petite résurrection de cadavre.
S’ensuit un changement dessinateur en la personne de Camuncoli. Dessins propre, un Constantine impactant visuellement, cela suit les dessins de Frusin et c’est vraiment agréable.
Alors y’a des histoires, on ne peut le nier. John combat des nazis, ça fait partie de club BDSM, mais on dirait des patchworks, des assemblages d’histoires sans lien si ce n’est l’arrivée de Constantine en taule.
Et si on enlève le dernier chapitre « bonus » où il y a clairement une entité paranormale, ce Brian Azzarello présente Hellblazer n’est en rien ce que j’attends d’un comics sur John Constantine.
J’attends de la flegme, du sarcasme, de la nonchalance, du paranormal. Pas un psychopathe BDSM qui règle des conflits d’intérêts. Je veux des duos comme avec Swamp Thing ou Etrigan.
Peut-être que j’ai mal saisi qui était Constantine au vu de ce qu’Alan Moore nous avait présenté dans ses comics dédié à la créature du marais.
En tout cas cela reste une énorme déception surtout quand on aime Azzarello. Garth Ennis a aussi participe à la légende de John Constantine, on verra bien.
Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste DC en ma possession.
Créée
le 26 oct. 2021
Critique lue 46 fois
le 23 sept. 2019
Au sommet de sa puissance, la Triade indonésienne contrôle 80% des activités de contrebande en Asie du Sud Est. Au sommet depuis des années, les dirigeants de la Triade ont créé une petite formation...
le 9 févr. 2018
Xerxès règne en maître sur le monde oriental et sur l'empire perse. Leonidas, roi de Sparte décide de lancer une offensive, contre l'avis des personnes situées au dessus de lui, pour éviter que la...
le 6 juil. 2022
France, début des années 90. Alors que des affrontements de plus en plus violents entre la police et les banlieues font rage, certains choisissent le hip-hop comme expression de leur révolte. Deux...
NOUVELLE APP MOBILE.
NOUVELLE EXPÉRIENCE.
Téléchargez l’app SensCritique, explorez, vibrez et partagez vos avis sur vos œuvres préférées.

À proposNotre application mobile Notre extensionAideNous contacterEmploiL'éditoCGUAmazonSOTA
© 2025 SensCritique