le 26 nov. 2017
System Failure
En 2041, alors que toutes les femmes sont des créatures longilignes au visage émacié et aux lèvres charnues et que tous les hommes sont des clones de Nikopol aux variantes capillaires plus ou moins...
La technologie rend con, les jeunes savent plus écrire sans correcteur automatique... merci Tonton Enki ! Un tel discours était déjà ringard il y a 15 ans.
De plus, quand on fait une BD sur la technologie, on se documente un minimum. Tous les supports numériques ont été effacés, mais on peut encore envoyer des mails... Avec un disque dur vide, il va falloir m'expliquer comment. Idem, les personnages peuvent encore utiliser leurs smartphones pour téléphoner. Même un vieux Nokia 3310 ne pourrait pas s'allumer si sa mémoire a été effacée, alors les smartphones du futur...
C'est dommage, parce que l'idée de départ était intéressante : que deviendrait l'humanité sans ses données numériques ? Et c'est suffisamment moralisateur en soit (oui, on en est complètement dépendant) sans avoir à ajouter ces critiques dignes d"un vieux papy réac.
Oui, la SF est censée questionner notre société actuelle. Mais la bonne SF n'a pas besoin d'appuyer son propos au rouleau compresseur.
Je mets donc 4 (et pas moins) pour l'idée de départ, et le fait qu'un seule personne récupère toutes les données qui m'intrigue. Avec un peu de chance dans le tome suivant il se calmera sur le côté vieux con.
Créée
le 2 mai 2019
Critique lue 789 fois
le 26 nov. 2017
En 2041, alors que toutes les femmes sont des créatures longilignes au visage émacié et aux lèvres charnues et que tous les hommes sont des clones de Nikopol aux variantes capillaires plus ou moins...
le 3 nov. 2017
J'en avais peur, il l'a fait : Bilal est devenu un vieux con. Il est passé du côté débile de la force. Bug est une dystopie où toutes les possessions informatiques et "virtuelles" disparaissent d'un...
le 2 mai 2019
La technologie rend con, les jeunes savent plus écrire sans correcteur automatique... merci Tonton Enki ! Un tel discours était déjà ringard il y a 15 ans. De plus, quand on fait une BD sur la...
le 26 juil. 2019
La découverte de la ringardise du propos ayant déjà eu lieu dans le tome 1, on peut se concentrer un peu plus sur l'intrigue sans râler toutes les 3 pages sur une incohérence. Le côté papy ronchon...
le 26 juil. 2019
Jusqu'aux 5 dernières minutes, je me disais que c'était pas ouf mais correct quand même. C'est joli, les acteurs sont biens, les chansons oubliables mais les chorégraphies pas mal (celle des...
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